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SeedUniversity - l'université qui forme les influenceurs - Agence Sharing

SeedUniversity, l’université de l’influence

SeedUniversity, l’université de l’influence 2000 1500 Sharing

Bien que le marketing d’influence soit un concept assez récent, il est déjà bien populaire parmi les utilisateurs des réseaux sociaux. Néanmoins, ce ne sont pas tous les socionautes qui ont compris les principes de ce genre de marketing. Par conséquent, c’est la désinformation qui se répand sur toute la toile avec parfois, une viralité incontrôlable. Afin d’éviter ce genre de situation, la start up américaine dirigée par Ara Katz et Raja Dhir a eu la bonne idée de former les leaders d’opinions. Pour ce faire, elle a créé une université assez particulière : la SeedUniversity.  

Influenceur : un métier qui s’apprend

Si certaines personnes semblent avoir plus d’influence que d’autres sur les réseaux sociaux, ce n’est pas vraiment parce qu’ils ont un don. Être populaire n’est pas non plus suffisant pour être un bon influenceur, c’est un métier qui s’apprend. Les créateurs de la SeedUniversity ont pris conscience de l’impact que les fausses informations peuvent avoir sur tous les aspects de notre vie et du rôle que les plateformes sociales telles qu’Instagram tiennent à ce sujet. Les influenceurs qui les utilisent ont le pouvoir de susciter l’engagement du public mieux que n’importe quel autre canal de communication. Aussi, il est important de leur donner les connaissances nécessaires afin qu’ils puissent véhiculer les bons messages et de la meilleure manière à leur communauté.

C’est dans cet esprit que la SeedUniversity dispense des formations qui visent à « responsabiliser le marketing d’influence » concernant notamment les informations relatives à la santé. Il est à noter que la SeedUniversity est née suite aux incidents causés par la promotion d’un médicament anti nausée que la star Kim Kardashian a mené sur les réseaux sociaux. Si telle est l’origine et les principes de cette université atypique, comment fonctionne-t-elle pour former les influenceurs ?

Devenir un influenceur « professionnel » avec SeedUniversity

Ara Katz et Raja Dhir ont réuni une équipe de scientifiques, de médecins, d’experts en communication et différents types d’intervenants pour apprendre aux influenceurs les bases scientifiques des produits qu’ils peuvent promouvoir. Pour ce faire, ils ont pu compter sur le soutien de bailleurs de fonds institutionnels comme Cross Culture Ventures et d’autres figures bien connues comme Cameron Diaz et Jessica Biel. SeedUniversity offre un programme intensif de 60 minutes à l’issue duquel les influenceurs sont soumis à un examen afin de valider leurs compétences. Les cours sont dispensés via la plateforme d’Instagram même et ils sont appuyés par l’existence d’un site dédié et d’un manifesto qui détaille les offres de l’université.

L’initiative de la start up américaine est salutaire aussi bien pour la sécurité des consommateurs que pour celle des laboratoires pharmaceutiques, mais serait-il possible d’avancer vers une « normalisation » du métier d’influenceur dans le futur ?

l'utilité de linkedin pulse pour les marques - Agence Sharing

Faut-il utiliser LinkedIn Pulse ?

Faut-il utiliser LinkedIn Pulse ? 2000 1500 Sharing

Afin de donner plus d’opportunités à ses utilisateurs, le plus grand réseau professionnel au monde s’est enrichi d’une plateforme de blogging : LinkedIn Pulse. Réunissant plus de 500 millions d’abonnés, LinkedIn est le réseau indiqué pour tisser des relations professionnelles. LinkedIn Pulse vient renforcer cette potentialité en offrant encore plus de visibilité aux utilisateurs. Mais avant de parler de ses avantages, voyons d’abord ce qu’est cette plateforme et comment on peut y accéder.

LinkedIn Pulse, une plateforme de contenu optimisé

LinkedIn Pulse sert à créer des articles qui apparaîtront ensuite sur la plateforme sociale de LinkedIn. Si elle est aujourd’hui ouverte à tous les utilisateurs du réseau, LinkedIn Pulse était auparavant réservée aux influenceurs dont les articles sont connus pour avoir une haute valeur ajoutée. Les articles publiés par les marques doivent ainsi maintenir le même niveau afin de pouvoir se positionner en tant qu’expert dans leur domaine respectif. Les textes peuvent être agrémentés d’images et de vidéos. Afin d’assurer une meilleure visibilité, il est également recommandé de penser au référencement naturel pour les rédactions, c’est-à-dire à bien choisir les mots-clés, à structurer les titres et à intégrer des liens.

Pour accéder à LinkedIn Pulse, il suffit de cliquer sur le lien « Écrire un article sur LinkedIn » en haut à gauche du profil. Il est toutefois à souligner qu’il est également possible de publier un article qui apparaîtra sur le fil d’actualités mais la longueur des textes y est limitée à 1300 caractères contre 125 000 pour LinkedIn Pulse. Par ailleurs, comme la plupart des marques qui font de l’inbound marketing disposent déjà d’un blog, on pourrait se demander s’il est vraiment nécessaire de faire aussi des publications sur une plateforme telle que LinkedIn Pulse. Pour répondre à cette question, on vous explique ce que vous pouvez gagner en publiant sur cette plateforme.

Ce que LinkedIn Pulse peut vous apporter

Comme mentionné précédemment, LinkedIn Pulse vise à accroître la visibilité des marques. La plateforme favorise en effet la portée des articles car ces derniers apparaissent automatiquement sur le fil d’actualités de l’auteur. Ils peuvent donc toucher un public plus large. Leur portée ne se limite pas aux seuls contacts de l’émetteur et surtout, ces articles sont indexés par Google. Les lecteurs ont en outre la possibilité de commenter, de partager et de créer la conversation autour de ces articles. Le taux d’engagement s’en trouve ainsi amélioré et les contenus acquièrent de la viralité auprès de nouveaux contacts. Chaque auteur a ainsi la possibilité de devenir un leader d’opinion selon les interactions que ses publications obtiennent.

Mais le plus grand avantage de LinkedIn Pulse est la qualité de son audience. Elle est en effet plus ciblée car l’algorithme de la plateforme permet de diffuser des articles auprès de personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêts que l’auteur. Et comme il s’agit d’un réseau professionnel, l’audience est plus qualitative, plus active et surtout, elle est tournée vers le business.

Par ailleurs, LinkedIn est également connu pour être le meilleur réseau social en termes de conversion visiteur-prospect (2,74%). Ainsi, en publiant des articles pertinents de façon régulière, les marques ont la possibilité de toucher plus de la moitié de leurs audiences. Se servir de LinkedIn Pulse s’avère alors être un très bon outil de génération de lead. Toutefois, pour que vos publications puissent porter leurs fruits, il ne faut pas oublier que les articles doivent être bien en accord avec le domaine d’expertise de la marque et apporter une réelle valeur ajoutée au public cible. 

Reels pour réaliser des vidéos courtes sur instagram - Agence Sharing

Pour contrer TikTok, Instagram lance Reels

Pour contrer TikTok, Instagram lance Reels 2000 1500 Sharing

Si vous avez lu notre article sur les nouveaux réseaux sociaux pour ados, vous savez déjà que TikTok est un réseau social chinois qui a la cote auprès de nombreux jeunes. Parmi les derniers nés des médias sociaux, il s’est déjà fait un concurrent dans son domaine, et pas n’importe lequel ! En effet, Instagram vient de lancer une nouvelle fonctionnalité qui ressemble beaucoup à TikTok, et avec ses nombreux utilisateurs éparpillés dans les quatre coins du globe, il peut très bien faire de l’ombre à ce réseau chinois. Cette nouveauté d’Instagram s’appelle Reels et on vous dit de suite en quoi est-ce qu’elle pourrait mettre TikTok en danger.

Reels, une fonctionnalité inspirée de TikTok

Connu aussi sous le nom de Cenas, Reels a été lancé récemment au Brésil. Il permet aux instagrameurs de créer des vidéos courtes de 15 secondes qu’ils peuvent ensuite personnaliser et partager dans leurs stories. C’est en effet ce type de contenu qui a fait le succès de TikTok car grâce à ces vidéos : elle était en 2018 l’application la plus téléchargée de l’AppleStore. 

Mais Instagram ne se contente pas de partager des vidéos dans les stories, il a aussi créé un nouvel onglet dans la section « Explorer » afin que les utilisateurs puissent y trouver les « Top Reels ». Les meilleurs Reels ont ainsi le privilège d’être visibles par un public plus large. Par ailleurs, il est également possible de partager les vidéos courtes via les messages privées sur Reels. Il est donc possible de choisir les personnes qui peuvent voir les vidéos et c’est un avantage non négligeable pour Reels par rapport à TikTok.

Comment ça marche ?

Reels est facile d’utilisation. Pour y accéder, il suffit d’ouvrir l’application et de glisser jusqu’à la fonction Reels. Comme sur Tiktok, un large catalogue musical est proposé à l’utilisateur afin qu’il puisse choisir la chanson qu’il va synchroniser avec sa vidéo. Comme options, il est possible de régler sa vitesse ou encore d’afficher un timer. Reels permet aussi d’intégrer plusieurs vidéos sur une seule grâce à une fonctionnalité nommée « ghost ». Une fois l’enregistrement fait, il suffit de partager la vidéo dans la story pour la publier.

Par le passé, Facebook a déjà tenté de concurrencer TikTok en créant une application indépendante nommée Lasso, mais les résultats n’étaient pas au rendez-vous. C’est ainsi que Facebook a décidé de changer de stratégie et de se focaliser sur Instagram.

Instagram, le nouvel axe stratégique de Facebook

Fort de ses 1,1 milliards d’abonnés, Instagram est sans doute la meilleure arme du groupe de Mark Zuckerberg pour faire face aux nouveaux réseaux qui intéressent les jeunes d’aujourd’hui. Il est en effet le 2ème réseau le plus utilisé par les socionautes après Facebook. Si le groupe a lancé sa nouvelle fonctionnalité au Brésil, c’est parce que c’est l’un des pays où il y a le plus d’instagrameurs au monde. On y compte 60 millions d’utilisateurs, le pays arrivant en seconde place, juste après les États-Unis.

Après le lancement de Threads qui reprend les principales fonctionnalités de Snapchat, l’arrivée de Reels vient renforcer la lancée d‘Instagram dans l’élargissement de son réseau vers les plus jeunes. D’ailleurs, il ne serait pas étonnant de voir qu’Instagram déploie Reels à l’échelle mondiale, si ce dernier a du succès auprès des Brésiliens.

Néanmoins, si Instagram voit déjà loin avec sa dernière fonctionnalité, il ne devrait pas s’endormir sur ses lauriers car TikTok le copierait également. Le réseau chinois tenterait de mettre en place une fonctionnalité en grille ainsi qu’un onglet découverte pour reproduire la section Explorer d’Instagram. Dans tous les cas, le choix du meilleur réseau reviendra toujours aux socionautes. Une histoire à suivre !

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Facebook lance Facebook Pay

Facebook lance Facebook Pay 2000 1500 Sharing

En gestation depuis quelques mois, Facebook Pay a été lancé officiellement le 12 novembre dernier aux États-Unis. A l’instar d’Apple et de Google, Facebook a aussi créé son propre système de paiement. Il sera utilisable sur la plateforme et sur toutes les applications du réseau, à savoir Messenger, WhatsApp et Instagram. Si les utilisateurs s’attendaient à voir le déploiement de Libra, le projet de cryptomonnaie de Facebook, le groupe a préféré s’appuyer sur des moyens déjà existants pour créer son système de paiement. Il est en effet simple d’utilisation et on ne devrait pas avoir de difficulté à s’en servir.

Le fonctionnement de Facebook Pay

Selon le communiqué de presse de Facebook, les utilisateurs ont déjà l’habitude de réaliser des paiements via les applications du groupe mais l’arrivée de Facebook Pay va simplifier et sécuriser ces transactions. En effet, le paiement se fait en partenariat avec des sociétés comme Paypal et Stripe. De plus, Facebook Pay est compatible avec la plupart des cartes de crédit et de débit qu’on a déjà l’habitude d’utiliser.

Pour s’en servir, il suffit donc de choisir le mode de paiement qu’on veut utiliser et de lier sa carte bancaire à Facebook Pay. Une fois la synchronisation faite, on n’a plus besoin de ressaisir ses informations si on veut utiliser une autre application appartenant au groupe Facebook. Néanmoins, il est à noter que Facebook Pay n’est pas activé par défaut sur toutes les applications. Ce sont les utilisateurs qui décident sur quelles applications ils veulent l’utiliser. 

Le groupe de Mark Zuckerberg a bien évidemment l’intention de déployer son nouveau système de paiement à une plus grande échelle mais pour l’instant, les zones concernées ainsi que les opérations réalisables via Facebook Pay sont encore limitées.

Quel type d’opérations peut-on effectuer avec Facebook Pay ?

Le système de paiement de Facebook permet de faire des achats en ligne (notamment de jeux et de places pour évènements). Facebook n’a d’ailleurs pas caché son intention d’aider les entreprises à vendre plus facilement via ses applications. Facebook Pay sert aussi à envoyer de l’argent à ses contacts et à faire des dons. Afin d’offrir les meilleurs services, il permet aux utilisateurs de voir l’historique de leurs paiements et de bénéficier d’une assistance client en temps réel grâce à un chat direct. Facebook Pay n’est encore opérationnel qu’aux Etats-Unis et uniquement sur Facebook et Messenger, pour l’instant. Le déploiement sur WhatsApp et Instagram se fera dans les prochaines semaines.

Mais le système de paiement de Facebook n’offre pas exactement les mêmes services que Google Pay et Apple Pay. Il s’agit d’un paiement « in-app » et on ne peut donc pas s’en servir pour faire des achats en magasin ni créer une carte de paiement virtuelle. Néanmoins, pouvoir utiliser un seul mode de paiement sur toutes les applications Facebook reste toujours une idée attractive pour les utilisateurs. Il faudrait juste que le réseau puisse garantir la confidentialité des données collectées et surtout sécuriser les transactions.

Sécurité des paiements : Facebook rassure les utilisateurs

Afin de dissiper tous les doutes concernant la confidentialité des données et d’assurer le bon déroulement des paiements, Facebook a mis en place plusieurs mesures de sécurité. Parmi les plus importants, une surveillance anti-fraude permettra de détecter toutes les activités non autorisées sur le compte du client et de l’en notifier. Par ailleurs, Facebook va aussi stocker et chiffrer les données bancaires des clients. Chaque paiement pourra être confirmé par un code PIN, par reconnaissance faciale ou par empreinte digitale. A ce propos, Facebook affirme ne recevoir ni stocker les informations biométriques des appareils de ses utilisateurs. Pour finir, Facebook a également tenu à souligner que Facebook Pay est totalement indépendant du portefeuille numérique Calibra qui devrait voir le jour en 2020.   

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Facebook ajoute un onglet « News » pour les articles de presse

Facebook ajoute un onglet « News » pour les articles de presse 2000 1500 Sharing

Par sa dernière innovation, Facebook entend susciter à la fois l’intérêt des professionnels de l’information et celui des internautes. En effet, un nouvel onglet intitulé « News » a été lancé le 25 Octobre dernier par le premier réseau social mondial. En phase de test, Facebook n’est encore accessible que par une audience limitée aux États-Unis avant de s’étendre plus loin. La création de cet onglet ne vise cependant pas à remplacer le fil d’actualités qu’on a déjà l’habitude d’utiliser, mais à améliorer l’expérience de ceux qui se servent de Facebook pour s’informer.

En quoi Facebook News est-il différent du fil d’actualités ?

Pour accéder à Facebook News, une icône dédiée est cliquable directement sur l’interface de l’application mobile. À la différence du fil d’actualités, il permet aux internautes de filtrer les informations qu’ils souhaitent voir en cachant les thématiques ou les titres qui ne les intéressent pas.

Mais le plus grand atout de cette nouvelle rubrique est la fiabilité des informations. En effet, les actualités regroupées dans cet onglet proviennent uniquement de médias professionnels alors que les flux d’informations du fil d’actualités peuvent être issus de sources peu fiables. Avant toute diffusion, les titres de presse sont sélectionnés par des journalistes professionnels indépendants et font l’objet d’un algorithme de personnalisation.

Mais ces critères de sélection n’ont pas été mis en place uniquement pour satisfaire les abonnés de Facebook, ils sont aussi et surtout favorables aux médias qui alimentent le contenu de ce nouvel onglet.

Une initiative pour aider la presse

Actuellement, cette nouvelle fonctionnalité de Facebook compte environ 200 médias partenaires dont le Wall Street Journal, le Washington Post, le New York Times – qui diffuse d’ailleurs l’opinion de Mark Zuckerberg sur Facebook News -, People, les chaînes ABC, CBS News et Fox News.

Mark Zuckerberg a en effet a affirmé sa volonté de soutenir le journalisme de qualité en créant Facebook News et son initiative a été saluée par de nombreux journalistes. D’après eux, cette rubrique est un très bon moyen pour lutter contre les « fake news », un véritable fléau pour le travail des journalistes. Il est à noter que pendant longtemps, Facebook a été accusé par les médias traditionnels de favoriser la propagation de la désinformation et la création de l’onglet News lui a permis de regagner la considération de ces derniers.

Par ailleurs, Facebook aide également les médias en les rémunérant pour leurs contenus. Cependant, à l’instar du site américain Breitbart, ils ne seront pas tous payés. La plupart des experts sont néanmoins optimistes quant à l’avenir de Facebook News, même si Mark Zuckerberg ne s’attend pas à un afflux massif et rapide de ses abonnés vers ce nouveau canal d’information.

Pour les médias, Facebook a mis en place quelques critères à respecter pour pouvoir diffuser leurs articles de presse dans l’onglet News.

Les conditions pour intégrer Facebook News

Afin de pouvoir figurer dans l’onglet News, une page Facebook doit être déclarée en tant que page d’actualités et interdire certaines pratiques comme l’incitation à la haine et surtout la diffusion de fausses informations.

Facebook doit s’assurer de l’intégrité de chaque média qui demande à intégrer son nouveau fil d’actualités. Les contenus de ces médias seront ainsi continuellement vérifiés par Facebook, même après avoir intégré la rubrique News. Pour le moment, les langues acceptées par Facebook News pour les titres de presse sont l’anglais, l’espagnol, le français, l’italien, l’allemand et le néerlandais. Les médias peuvent poster des articles de presse dans les rubriques business, divertissement, santé, sport, science et technologie.

les noueaux réseaux sociaux pour ados -Agence Sharing

Quels sont les nouveaux réseaux sociaux pour ados ?

Quels sont les nouveaux réseaux sociaux pour ados ? 2000 1500 Sharing

Si la plupart des internautes font tout de suite référence à Facebook, Twitter et Instagram quand ils parlent de réseaux sociaux, ce n’est pas vraiment la même chose chez les ados. En effet, il existe aujourd’hui plus d’une centaine de réseaux sociaux utilisés dans le monde et les adolescents ont leurs réseaux favoris. Certains sont plus ou moins connus par la majorité des jeunes et d’autres se font plus discrets. Pour vous mettre au parfum des nouvelles tendances chez les jeunes, commençons par les réseaux sociaux pour ados les plus populaires.

TikTok : un réseau social chinois qui fait fureur

Cette nouvelle application plaît à tous les adolescents de tous les pays. Grâce à Tiktok, les ados peuvent enregistrer des vidéos courtes, créer des parodies et des mini sketches qu’ils partagent avec leurs amis. Le principal atout de TikTok est de permettre la réalisation de différents challenges, un sujet dont les jeunes sont particulièrement friands. TikTok propose aussi des tutoriels pour maîtriser ces défis. TikTok est aujourd’hui l’application la plus téléchargée de l’AppleStore et le réseau social possède déjà des influenceurs potentiels avec 23 millions de followers. 

SnapChat : la plateforme préférée des moins de 18 ans

Selon une enquête de l’association Génération Numérique en 2018, 92% des jeunes de 15 à 18 ans et 83% des 11 à 14 ans utilisent SnapChat (enquête réalisée sur une base de 11056 jeunes). Son atout : des groupes de discussions privées à caractère éphémère. Les photos et les textes partagés disparaissent aussitôt qu’ils ont été vus par les destinataires. Cette fonctionnalité a récemment été reprise par la nouvelle messagerie instantanée d’Instagram, un fait qui risque de causer de gros soucis à SnapChat. 

Outre TikTok et Snapchat, un autre type de réseau est aussi en train de faire son ascension. Il s’agit de Twitch.

Twitch : le réseau social des live streamers

Twitch existe depuis 2011 mais il ne s’est fait vraiment remarqué que l’année dernière grâce à un jeu vidéo en particulier : Fortnite. De plus en plus de jeunes intègrent ce réseau sur lequel il est possible de suivre en direct les vidéos publiées par les streamers, de commenter les performances des meilleurs gamers et surtout de tchater directement avec eux. Il offre ainsi aux followers de vraies opportunités pour interagir avec ces influenceurs et parfois même avec des stars. 

Mais à côté de ces plateformes se développent également des communautés beaucoup moins connues, des noms de réseaux sociaux pour ados que peut-être vous n’avez jamais entendus, mais qui ont beaucoup d’influence sur eux. En voici quelques uns.

Azar : pour aller au delà des frontières

Avec 100 millions de téléchargements enregistrés, ce réseau permet aux jeunes de discuter avec des gens dans d’autres pays, de parfaits inconnus. Si vous connaissez le site web Chatroulette, Azar n’ est ni plus ni moins que sa version mobile. L’application permet même le matching avec des mineurs. Avis aux parents…

House party : un réseau pour jouer entre amis

House Party est fait pour les ados qui aiment jouer avec leurs amis à des jeux du type « Trivial Pursuit ». Pour ce faire, ils se connectent en facecam. L’application ne peut être utilisée qu’avec des contacts déjà utilisés sur le téléphone ou sur des réseaux comme Facebook et Snapchat.

F3 : pour un tchat anonyme éphémère

Le principe de F3 est simple : poser et répondre à des questions éphémères de manière anonyme. Les discussions sont automatiquement effacées au bout de 72h. C’est un réseau qui est censé n’être utilisé que par les plus de 17 ans, une condition qui est très peu respectée.

Plato : pour créer son groupe de joueurs

Il s’agit d’une plateforme de mini-jeux qui se jouent à plusieurs. On n’y trouve pas de publicité mais pour faire vivre la plateforme, les joueurs sont appelés à faire des petites transactions pour gagner des points. Si votre enfant se sert de votre carte bleue pour jouer sur Plato, il faudra quand même le surveiller pour éviter les mauvaises surprises !

Hoop : pour faire des rencontres

Hoop représente le réseau de rencontre de SnapChat. Certains jeunes l’utilisent pour trouver l’élu de leur cœur. Sachant que SnapChat est le réseau préféré des ados et des pré-ados, il serait préférable pour les parents de garder un œil sur la manière dont leurs enfants s’en servent.

Les séniors et leur influence sur les réseaux sociaux - Agence Sharing

Pourquoi il ne faut pas exclure les séniors de ses stratégies sociales ?

Pourquoi il ne faut pas exclure les séniors de ses stratégies sociales ? 1200 900 Sharing

Si on parle beaucoup des « digital natives » et de la génération Z comme étant les plus concernés par l’évolution technologique actuelle, cela ne veut pas dire pour autant qu’ils sont les seuls à faire tourner le monde du numérique. En effet, toutes les générations sont emportées par le progrès et les séniors ne sont pas en reste. Contrairement à ce qu’on  a l’habitude de penser, les séniors n’ont rien à envier à leurs enfants les « millennials » et certains peuvent même rivaliser avec les influenceurs d’aujourd’hui ! Exclure cette tranche d’âge de sa stratégie sociale serait donc une erreur et voici pourquoi.

Les séniors s’approprient les réseaux sociaux

Avez-vous déjà entendu parler de Baddie Winkle ou encore de Iris Apfel ? Si vous ne les connaissez pas encore, sachez qu’il s’agit des mamies les plus connues d’internet.  Âgée de 88 ans, Baddie Winkle est suivie par 3,8 millions de followers attirés par son look coloré sur Instagram. Iris Apfel, quant à elle, plaît aux internautes pour son profil de femme de caractère et son look assez singulier. Elle est suivie par plus d’un million d’abonnés. Mais Baddie Winkle et Iris Apfel ne sont pas les seules à s’être faites une place sur les réseaux sociaux. Les séniors sont nombreux à faire partie de ces plateformes et même s’ils ne sont pas tous des influenceurs, ils y sont vraiment actifs.

En effet, selon les sondages de l’Institut Français des Seniors, 80% des personnes âgées de plus de 55 ans appartiennent tous à un réseau social, notamment à Facebook. Les raisons qui les poussent à intégrer ces réseaux sont diverses mais en général, c’est un moyen simple pour eux de communiquer avec leurs familles et amis quand ils arrivent à la retraite.

Pour se connecter, la plupart d’entre eux utilisent des smartphones et ils se servent de plus en plus des réseaux sociaux pour s’informer sur les domaines tels que la finance, le voyage, les loisirs, etc. La présence des séniors sur les réseaux sociaux a aussi une certaine influence sur les millennials qui font davantage attention à leurs activités sur ces médias alors que la génération Z est partie de Facebook pour intégrer d’autres réseaux afin d’avoir « plus d’intimité ». Quoi qu’il en soit, la communauté des séniors ont tapé dans l’œil des géants d’internet, si bien qu’ils leur ont déjà trouvé un nom : les silver-surfeurs.

Les silver-surfeurs : une communauté à ne pas négliger

En France, il y en a 11 millions. Rien que par ce nombre, on peut dire que les séniors ont vraiment leur place dans l’univers du digital. Que ce soit pour les marques, les institutions ou encore les associations, négliger une telle communauté serait passer à côté de grandes opportunités. Par ailleurs, leur âge avancé n’est en aucun cas un handicap pour réussir sur les nouveaux médias.  Ils sont même plus importants que les plus jeunes dans certains domaines comme la mode : à 88 ans, Baddie Winkle est même l’égérie d’une marque de prêt-à-porter pour les jeunes. On notera aussi les exploits de Deshun Wang, un mannequin de 80 ans qui est également l’égérie de Reebok. Les grandes marques ont donc déjà choisi leurs silver-influenceurs ; et vous, avez-vous déjà envisagé de travailler avec eux pour faire connaître vos activités ?

De la publicité ciblée dans Messenger - Agence Sharing

Facebook prévoit d’intégrer de la publicité ciblée dans Messenger

Facebook prévoit d’intégrer de la publicité ciblée dans Messenger 2000 1500 Sharing

On aime les médias sociaux et leurs services de messagerie. Pour preuve, rien que sur Facebook, on compte 2,2 milliards d’utilisateurs mensuels sur la plateforme et 1,3 milliard sur la messagerie. Il est devenu difficile de s’en passer, et comme on ne résiste pas à l’envie de cliquer sur une notification de message, les applications de messaging ont fini par devenir incontournables.

Cet intérêt croissant des internautes pour l’instantané n’est pas passé inaperçu aux yeux des marketeurs : ces applications peuvent aussi être des outils redoutables pour les marques et leurs stratégies marketing. C’est dans cette logique que Facebook a décidé d’insérer de la publicité dans Messenger et, aujourd’hui, il envisage d’améliorer son ciblage en fonction du contenu des conversations. Une initiative qui n’est pas vue d’un bon œil par tout le monde.

Publicité ciblée dans Messenger : dépôt de brevet rendu public

C’est en Avril 2015 que Facebook a déposé auprès du Bureau Américain des Brevets une demande assez particulière. Son intitulé : « plug-in d’application Messenger capable de fournir des publicités sur mesure dans un fil de conversation ». Comme un préambule à la mise en œuvre de ce projet, les premières publicités (non ciblées) sont apparues sur Messenger en Juillet 2017. Le déploiement s’est fait par vague en France et jusqu’à aujourd’hui, certains utilisateurs ne voient pas encore de publicité dans leurs conversations si d’autres en ont déjà reçu depuis plusieurs mois. Pour la publicité ciblée, le dépôt du brevet est rendu public au mois d’Août de cette année et Facebook a déjà pensé à la façon de rendre les publicités plus pertinentes et plus efficaces.

Comment Facebook veut choisir sa cible

Ce nouveau projet de Facebook est beaucoup plus perfectionné que les précédents. En effet, grâce à l’intelligence artificielle, il va analyser les messages qu’on envoie sur Messenger. Selon son contenu, il va alors proposer des publicités qui correspondent exactement à nos besoins. A titre d’exemple,  si vous parlez de vos envies de partir en vacances dans un pays précis, vous recevrez instantanément le prix des vols vers le dit pays dans votre fenêtre de discussion. Facebook choisira donc sa cible  selon les mots-clés qui se trouvent dans nos conversations, mais il s’appuiera aussi sur la géolocalisation de nos téléphones pour être encore plus précis. De cette manière, si vous vous plaignez d’avoir faim à votre ami, vous pourrez recevoir illico les contacts d’une pizzeria qui se trouve près de chez vous, pas de votre interlocuteur, mais bien de Messenger. 

D’une part, la publicité ciblée que Facebook aurait l’intention de déployer pourrait être pratique, mais de l’autre,  elle peut aussi être considérée comme une intrusion dans la vie privée des utilisateurs. Déjà que de nombreuses personnes  soupçonnent Facebook d’épier leurs conversations, ce nouveau projet ne fait que renforcer les inquiétudes à propos de la confidentialité des données personnelles et des conversations.

« Ce n’est qu’un brevet… »

Pour rassurer ses utilisateurs, Facebook a toujours démenti les rumeurs concernant son intention de placer des annonces ciblées dans les conversations privées. D’après la plateforme, il ne faudrait pas prendre toutes les demandes de brevets comme des projets futurs ; elle aurait déjà déposé plusieurs brevets pour des technologies qu’elle n’a jamais  appliquées.

Néanmoins, la publicité ciblée semble être une suite logique des annonces déjà présentes dans Messenger actuellement. Si Facebook mise sur les messageries pour développer son réseau, la protection de ses utilisateurs devrait aller de paire avec les intérêts de ses annonceurs. Comment les utilisateurs peuvent-ils être sûrs que leur vie privée ne sera pas exposée et qu’ils ne courent aucun danger ?

Influence de Facebook dans le domaine caritatif - Agence Sharing

L’influence de Facebook dans le domaine caritatif

L’influence de Facebook dans le domaine caritatif 2000 1500 Sharing

Si, au départ, Facebook était un réseau destiné essentiellement aux jeunes, il est aujourd’hui devenu un incontournable levier de communication pour la plupart des utilisateurs. La plateforme continue en effet d’évoluer pour leur offrir encore plus de fonctionnalités utiles à leurs activités. Parmi les entités ayant bénéficié récemment de cette évolution, les organisations à but non lucratif peuvent désormais se servir de Facebook afin d’atteindre leurs objectifs. 

Comment Facebook soutient les associations caritatives

Facebook est beaucoup plus qu’un simple outil de communication. Il est un véritable espace d’échange et grâce à lui, les ONG et associations peuvent transmettre beaucoup plus facilement leurs messages à leur public. Elles y ont aussi la possibilité de constituer une vraie communauté réunie autour d’une même cause.

Pour aider les organisations caritatives, Facebook a créé une fonctionnalité spécifique : le bouton « faire un don ». Il peut être associé à un post ou une bannière afin de permettre aux internautes de participer aisément au projet de leur choix. C’est une option qui mérite toute l’attention des associations vu qu’elle s’avère être efficace : 31% des donateurs français de moins de 35 ans s’engagent  aujourd’hui via les réseaux sociaux, notamment via Facebook. Par  ailleurs, d’après une étude publiée dans le journal académique américain Nonprofit and Voluntary Sector Quarterly, l’utilisation des réseaux sociaux améliore remarquablement les performances des levées de fonds organisées par les associations caritatives. Il a en effet été constaté qu’une augmentation de 10% du nombre des “j’aime” obtenus par une page équivaut à une croissance de 1% des dons qu’elle obtient. 
 

Grâce à ce genre d’innovation qui tient compte des besoins spécifiques de ses utilisateurs, Facebook n’arrête pas de gagner en notoriété et il est désormais dans l’intérêt des associations d’y être présentes et actives. 

Une campagne Facebook, une visibilité planétaire

Par rapport  aux nombreux réseaux sociaux dont les internautes se servent aujourd’hui pour communiquer, Facebook a un atout majeur : son envergure. Il est le premier réseau social mondial avec ses 2 milliards d’utilisateurs éparpillés aux quatre coins de la planète. Grâce à ses multiples fonctionnalités, il s’adresse à toutes les tranches d’âge et couvre tous les intérêts. La présence sur Facebook, plus que sur les autres réseaux, est désormais la garantie d’une bonne visibilité pour les marques, les institutions et les associations. Facebook enregistre aujourd’hui près de 2,4 millions de pages actives d’Organisations Non Gouvernementales et d’Associations qui sont suivies par environ 450 millions de personnes. Il ne reste plus aux associations qu’à élaborer des campagnes bien pensées pour leurs cibles.

Mais Facebook ne se limite pas aux collectes de fonds, il  a aussi inventé d’autres concepts visant à promouvoir l’entraide à travers son réseau. Il a notamment créé ce qu’on appelle la e-solidarité.

Les fonctionnalités Facebook pour une communauté solidaire

Sensibiliser et mobiliser le public est devenu plus facile depuis l’existence des réseaux sociaux. Spécialement sur Facebook, plusieurs fonctionnalités ont été développées afin de promouvoir la solidarité des communautés  et des internautes en général. En effet, la simple utilisation d’un hashtag peut être d’une grande aide lors d’une situation d’urgence, il en est de même pour les messages de soutien en cas de sinistre. Nous sommes aussi nombreux à avoir déjà utilisé le Safety Check de Facebook afin de rassurer nos proches suite à un attentat ou une catastrophe naturelle. La plateforme a également mis en place  le Community Help afin que chacun puisse proposer de l’aide aux membres de sa communauté qui ont besoin d’aide.

Face au développement actuel des réseaux sociaux, il est évident que des options novatrices sont encore à venir et on espère tous que celles en faveur de la solidarité et des causes humanitaires ne seront pas en reste.

Instagram Threads Sharing agence communication

Instagram lance Threads

Instagram lance Threads 2000 1500 Sharing

L’avenir des réseaux sociaux se trouve dans les messageries et cela, Mark Zuckerberg l’a bien compris. Threads, une nouvelle application complémentaire à Instagram  vient ainsi de voir le jour pour rejoindre les rangs des réseaux sociaux appartenant à ce géant d’internet. Mais si Instagram possède déjà sa propre messagerie intégrée, pourquoi tient-il à en créer une autre ?

Les différences entre Direct et Threads

Effectivement, les instagrameurs ont déjà l’habitude d’utiliser la messagerie Direct pour discuter avec leurs amis. Seulement, la concurrence oblige sans cesse les opérateurs à innover. A la différence de Direct qui est une messagerie interne à Instagram, Threads est une application à part, un peu comme Messenger l’est pour Facebook. Disponible sur iOS et Android,  elle est dotée de plusieurs nouvelles fonctionnalités dont certaines nous rappellent une autre application : Snapchat. Comme cette dernière, Threads permet aux utilisateurs de discuter et d’interagir avec un groupe restreint d’amis proches qui pourront ainsi rester connectés continuellement. Grâce à Threads, il est désormais possible de s’exprimer sans craindre les attaques d’inconnus car seuls les contacts filtrés d’instagram auront accès à la discussion.

Threads, un sérieux concurrent pour Snapchat

Outre les discussions privées qui étaient une des particularités de Snapchat, Threads a encore d’autres atouts qui plairont particulièrement aux jeunes : cette nouvelle application est aussi et surtout axée sur le partage instantané de photos et de vidéos. Instantané est bien le mot qui fait la différence car avec Threads, il est possible de se servir de 2 types de statuts : l’habituel statut qu’on publie manuellement et un tout nouveau statut qui est automatisé. 

En se servant de certaines options déjà présentes sur les smartphones telles que la géolocalisation, l’application permet aux utilisateurs de partager avec leurs petits groupes l’endroit où ils se trouvent. Si vous êtes en voiture, elle est aussi capable de fournir à vos interlocuteurs la vitesse à laquelle vous vous déplacez. Grâce à elle, vous pouvez même partager le niveau de batterie restant sur votre smartphone. En résumé, elle  permet de partager en temps réel chaque petit événement de votre vie avec les personnes qui vous sont proches et ce, en toute intimité.

Pour le partage de photos ou de vidéos, Threads bénéficie aussi des options de retouches utilisées par Instagram. D’ailleurs, pour mettre en avant cette fonctionnalité, l’ouverture de Threads sur un appareil déclenche automatiquement la caméra.

Le respect de la vie privée

Conçu dans le souci d’offrir plus d’intimité à ses utilisateurs, Threads prend  bien en compte leur vie privée. Selon le directeur produit d’Instagram, le statut de chaque utilisateur n’est visible que par les amis proches qu’il aura donc choisi, et seulement s’il décide de le partager. Par ailleurs, afin que chacun puisse bien contrôler avec qui il souhaite interagir, les messages de la liste d’amis proches sont aussi consultables dans la messagerie Direct.

Si Threads vient juste d’être lancé, Mark Zuckerberg qui possède les messageries Facebook, Instagram et WhatsApp envisage déjà de fusionner toutes ces applications sur une seule plateforme. Il vise ainsi à renforcer la position du groupe sur ce type d’applications qui connaît de plus en plus de succès auprès des internautes, spécialement les jeunes.