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Eva Sahondra

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Pourquoi passer aux vidéos verticales sur les réseaux sociaux ?

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Afin de répondre au mieux aux attentes des utilisateurs, les pionniers des réseaux sociaux n’ont eu de cesse de développer leurs plateformes. Parmi leurs dernières innovations, le changement de format des vidéos est en train de s’opérer sur la plupart des réseaux. Les vidéos horizontales et celles au format « à la Brut » semblent en effet avoir fait leur temps et aujourd’hui, c’est le format vertical qui est à la pointe de la tendance. Si vous n’avez pas encore pensé à l’intégrer dans vos campagnes de communication, lire ces quelques lignes vous aidera à comprendre l’intérêt de le faire.

Le format vertical améliore l’expérience utilisateur de vos socionautes

Si Snapchat suivi de Facebook et Twitter ont déjà lancé la publicité au format vertical à partir de 2016, c’est l’entrée en scène de YouTube qui va accélérer l’adoption de ce nouveau format de vidéo par les mobinautes. En effet, une étude menée par Google sur la façon dont ses abonnés visionnent les vidéos YouTube a montré que 70% du temps de visionnage était réalisé sur des appareils mobiles. Il a donc paru logique d’améliorer l’expérience des mobinautes qui étaient obligés de tourner leurs appareils afin de voir leurs vidéos sans les bandes noires sur les côtés. Youtube a ainsi mis en place un lecteur vidéo dynamique qui s’adapte à tous les contenus sur les mobiles et aussi un lecteur de bureau qui élimine les fameuses bandes noires.

Mais Youtube n’est pas un exemple isolé. La grande majorité des socionautes utilisent des smartphones pour toutes leurs activités sur les réseaux sociaux et il leur est naturel de les tenir à la verticale. Ce nouveau format leur permet en outre de se focaliser sur la vidéo car sa lecture ne sera pas perturbée par d’autres éléments. Adopter ce format pour ses activités sur les réseaux sociaux est donc la bonne pratique à suivre afin d’améliorer l’expérience utilisateur de votre communauté. Face à vos concurrents, c’est le détail qui peut faire la différence car il a aussi des répercussions sur les taux d’interaction.

Les vidéos verticales sont plus engageantes

L’intérêt du public pour les vidéos continue de s’accroître et on estime que d’ici 2021, 78% du trafic sur internet sera constitué par ce type de contenu. Les plus grandes plateformes telles que Facebook ont déjà fait leur test et d’après leurs études, le format vertical accuse un meilleur taux d’engagement. Par ailleurs, 79% des consommateurs novices ont une préférence pour ce format qu’ils trouvent plus attractif, toujours d’après les études de Facebook business. Sur la plateforme de création de vidéos Wibbitz, les chiffres sont on ne peut plus clairs car sur Facebook, les vidéos verticales y enregistrent quatre fois plus d’engagement que les vidéos carrées. Sur Twitter, on en compte 2,5 fois plus. L’usage du format vertical est également perçu comme un signe d’innovation par les consommateurs.

Toutes ces évolutions amènent à penser que la vidéo verticale sera bientôt le format normal sur les médias sociaux et d’ailleurs, les plus grandes plateformes sociales le suggèrent déjà à leurs utilisateurs.

Les campagnes vidéos verticales sont encouragées par les géants d’internet

Outre Facebook qui a déjà lancé Facebook Watch pour mettre en avant les vidéos, Instagram pousse également l’usage du format vertical. En effet, IGTV permet désormais la diffusion de contenus vidéos dont la durée peut aller jusqu’à 60 minutes, à condition que ceux-ci soient au format vertical.

Côté publicité, les annonceurs qui réalisent des campagnes Youtube ou qui font la promotion d’applications sont aussi invités à utiliser le format vertical dans Youtube Ads. Néanmoins, Google préconise quand même l‘utilisation des 2 formats vertical et horizontal afin d’optimiser la performance des annonces pour ce type de campagne. L’association de ces deux formats a donné de très bons résultats chez Hyundai qui a décidé de tester la performance du format vertical avec l’aide de Google.

Pour résumer, l’option de la vidéo verticale est en train de devenir la nouvelle norme de publication sur les réseaux sociaux, aussi, il serait peut-être temps pour tous de revoir ses habitudes sur le sujet. Ce nouveau format permet d’ailleurs de concilier l’intérêt des annonceurs à celui du public. Il faut toutefois se souvenir que pour publier une vidéo au format vertical, il faut d’abord filmer à la verticale. Il faudra donc réaliser 2 tournages si vous voulez 2 vidéos aux formats vertical et horizontal.

Les GAFA et la big data pour la santé - Agence Sharing

Les GAFA et le big data pour la santé

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L’économie numérique n’en a pas fini de nous surprendre avec ses nouveaux concepts et ses nouveaux usages. Elle touche en effet tous les aspects de notre vie et aujourd’hui, même le secteur de la santé est concerné par la numérisation. On parle aujourd’hui de big data dans ce domaine et l’utilisation de ces données intéresse de plus en plus de monde depuis que les GAFA ont intégré le secteur. Mais quelles relations entretiennent les GAFA, le big data et la santé ? Pour pouvoir répondre à la question, il est nécessaire de savoir à quoi se réfèrent ces termes spécifiques.

GAFA et Big data : qu’est-ce que c’est ?

GAFA fait référence aux 4 géants d’Internet américains. C’est l’acronyme de Google, Apple, Facebook et Amazon. Parfois, on entend également parler de GAFAM pour inclure Microsoft dans le groupe. Ces géants d’internet sont à l’origine d’une grande partie de l’économie numérique actuelle et à la différence de toutes les autres entreprises, ils ont la capacité de toucher immédiatement le marché international. Leur main mise sur l’économie mondiale, et surtout sur les données personnelles de leurs utilisateurs, devient souvent source d’inquiétude, même pour les États. En effet, l’ensemble de leurs capitalisations peut être comparé au PIB de pays riches comme l’Allemagne et le Royaume Uni.

Parallèlement à l’hégémonie des GAFA, la notion de Big Data est aussi née. Le Big Data peut être traduite littéralement par « données massives ». Elle est considérée comme la nouvelle révolution industrielle de notre temps. Il s’agit d’une technologie qui permet de gérer d’énormes volumes de données en temps réel, à partir de différents canaux. Le Big Data sert à analyser rapidement des flux importants de données qui changent en permanence afin que leurs utilisateurs puissent trouver et utiliser des informations pertinentes pour le domaine qui les intéresse. Les GAFA dont les activités se font à l’échelle planétaire sont ainsi les principaux utilisateurs du Big Data et ils s’en servent désormais dans le domaine de la santé.

Pourquoi les GAFA s’intéressent-ils à la santé ?

Les structures telles que Google et Facebook, mis à part leurs volets publicités, se nourrissent d’informations. Grâce aux informations que nous laissons sur ces plateformes, elles connaissent en effet nos relations, nos habitudes, nos centres d’intérêts, les produits dont nous avons besoin et même notre état de santé. La santé étant un sujet qui sera toujours au cœur des préoccupations de tout être humain, il n’est pas surprenant de voir l’intérêt que les GAFA lui portent.

Mais outre son côté humain, la santé représente aussi un marché juteux pour les GAFA et leurs investissements dans le secteur sont assez impressionnants. A titre d’exemple, Google vient de racheter Fitbit, le spécialiste des bracelets connectés dédiés à l’usage médical pour un coût de 2,1 milliards de dollars. Par cet investissement, Google entend entrer en concurrence avec Apple qui tient 38% des parts de marchés des objets connectés pour le moment.

Fitbit – le spécialiste des bracelets connectés dédiés à l’usage médical

Selon les études du cabinet IDC, le marché des bracelets connectés accuse une croissance de 28,8% en un an. Par ailleurs, les données de santé intéressent aussi les GAFA qui nouent des partenariats notamment avec les assurances pour développer leurs services. Le partenariat d’Apple avec l’assureur Aetna en est une parfaite illustration. La marque à la pomme a créé pour Aetna une application qui lui permet de suivre l’état de santé de ses assurés en se servant de l’Apple Watch.

Afin de promouvoir la santé digitale, les géants du numérique ont en fait déjà réalisé plusieurs projets dont les plus connus seront cités ci-après.

Les projets santé des GAFA

Par ses nombreuses initiatives dans le domaine, Alphabet, la maison mère de Google se positionne comme étant le leader des projets e-santé. On notera Verily qui travaille avec diverses entités œuvrant dans la technologie de pointe médicale et aussi avec de nombreux groupes pharmaceutiques tels que Novartis et Sanofi. On citera également les projets Project Baseline qui veut « cartographier la santé humaine », Calico qui se concentre sur la prévention du cancer et CityBlock en vue de favoriser la prévention et l’éducation à la santé.

Amazon quant à lui va créer une assurance santé commune pour ses 960 000 employés. Il a aussi obtenu une licence de pharmacien de gros dans certains États américains et investit dans une start-up qui travaille dans la détection des cancers.

Pour Facebook, son incursion dans la e-santé se traduit par l’acquisition de Moves, le spécialiste du suivi de l’activité physique (qu’il a finalement abandonné l’année dernière) et d’Oculus qui opère dans la réalité virtuelle. La plateforme a également mis en place un format publicitaire spécifique pour les laboratoires pharmaceutiques.

Enfin, pour Apple, les nombreuses améliorations de l’Apple Watch sont suivies par tous. Désormais, les utilisateurs pourront aussi partager leurs données de santé et d’activités avec des chercheurs et des applications tierces grâce aux fonctionnalités Research Kit et Health Kit.

Si les GAFA et leurs partenaires ont déjà fixé leurs objectifs pour ces différents projets e-santé, les principaux concernés, eux se posent des questions sur ce que ces technologies peuvent réellement leur apporter.

Cette nouvelle tendance est-elle bénéfique pour les patients ?

En considérant que la technologie apportée par les géants du numérique dans le secteur de la santé permet de faire avancer la recherche et le développement, la réponse est oui. La collecte et l’analyse des données médicales via le Big Data aident en effet à mettre en place une médecine de précision, plus personnalisée et prédictive. Aujourd’hui, il est par exemple possible de suivre un patient à distance grâce aux objets connectés. Ils peuvent communiquer l’évolution de leurs maladies en temps réel avec les médecins et les chercheurs qui peuvent ainsi accélérer le traitement. Le suivi médical en devient également moins contraignant, aussi bien pour le médecin que pour le patient.

Le seul souci avec l’implication des opérateurs du numérique dans le domaine de la santé reste la protection des données personnelles. Google a tenu à souligner lors de l’acquisition de Fitbit que les données qu’il y récolterait ne serviront pas à ses activités publicitaires. Néanmoins, quand on connaît le côté mercantile des GAFA, on est quand même amenés à se demander si nos données sont bien à l’abri de tout usage commercial. Quel que soit l’objectif du projet que les opérateurs du numérique et de la santé se soient donnés, la confidentialité des données doivent se trouver au cœur de leurs préoccupations pour la sécurité des patients. 

pourquoi developper sa marque employeur - Agence Sharing

De l’importance de développer sa marque employeur

De l’importance de développer sa marque employeur 2000 1500 Sharing

Si cela fait déjà quelques années que les termes « marque employeur » sont utilisés dans domaine du marketing RH, toutes les entreprises ne partagent pas le même avis quant à son importance. En effet, ce concept a pris de l’ampleur à l’ère du digital et on note que les employeurs et les employés n’ont pas forcément la même vision de l’entreprise. Ils appartiennent à des générations bien différentes. Cependant, force est de constater que face à la multiplication des canaux de communication, il est impossible d’ignorer la marque employeur. Mais avant de parler des raisons pour lesquelles chaque entreprise devrait s’y intéresser, il faut d’abord comprendre ce que ces termes signifient.

La marque employeur, c’est quoi ?

Il s’agit d’un ensemble d’actions qu’une entreprise mène afin de la rendre attractive aux yeux de ses futurs collaborateurs et de maintenir l’intérêt que ses salariés actuels ont pour elle. La marque employeur résulte du changement de comportement des candidats qui arrivent sur le marché du travail et de l’amplification de la concurrence entre les marques. En effet, même s’il est vrai qu’il y a toujours plus de demandes que d’offres d’emploi, les candidats actuels prennent bien le temps d’étudier le profil des entreprises qui les intéressent avant de décider où ils vont postuler. La nouvelle génération considère en effet l’entreprise comme un second lieu de vie et pour l’intégrer. Il faut que le candidat puisse s’identifier à elle et qu’elle lui permette de concilier vie professionnelle et vie personnelle. Cependant, la marque employeur ne vise pas uniquement à servir l’intérêt des futurs collaborateurs, elle offre aussi des avantages à l’entreprise.

Pourquoi investir dans la marque employeur ?

Afin de décrocher les meilleurs talents à l’embauche, les entreprises sont donc obligées de soigner leur image. Et comme pratiquement tous les domaines tendent à être digitalisés aujourd’hui, il est indispensable pour les marques de trouver des collaborateurs qui peuvent évoluer dans ce domaine. Les entreprises ne peuvent pas se soustraire à la course aux talents, d’où l’importance de développer sa marque employeur. 

Mais cette stratégie marketing RH ne s’applique pas seulement aux futurs employés. Elle s’adresse aussi aux meilleurs salariés de l’entreprise. En les fidélisant, l’entreprise réduit considérablement son taux de turnover. Elle économise aussi du temps et de l’argent qu’elle aurait pu dépenser en recrutant de nouveaux employés.

Par ailleurs, le plus grand intérêt de la marque employeur est de pouvoir transformer ses salariés en de véritables ambassadeurs. En effet, non seulement, ils ne se laissent pas tentés par d’autres expériences professionnelles mais ils véhiculent aussi la bonne image de l’entreprise à l’extérieur. Investir dans la marque employeur est donc triplement bénéfique pour les marques car elle permet à la fois d’améliorer la réputation de l’entreprise, d’attirer les meilleurs talents et de fidéliser les salariés potentiels. Des atouts qui ne sont pas sans impacts sur les résultats de l’entreprise et l’acquisition de clients.

Si vous ne vous êtes pas encore penché sur l’idée de prendre en main votre marque employeur, on vous donne ici quelques pistes.

Comment améliorer votre marque employeur

Les premiers outils que les candidats vont utiliser pour connaître votre entreprise sont les réseaux sociaux et le web en général. La génération Y ne pourrait pas voir une entreprise qui serait absente de ces canaux de communication. Aussi, si vous n’êtes pas encore actif sur ces canaux, il serait temps de vous y mettre ! LinkedIn est le réseau le plus sollicité par ceux qui recherchent un emploi et c’est aussi là que vous pourrez trouver le talent que vous recherchez. C’est également sur les réseaux sociaux que vous avez le plus de possibilité de mettre en valeur la culture et les engagements de votre entreprise. Ce réseau vous permet d’échanger avec vos futurs et actuels collaborateurs.

Néanmoins, il ne faut pas non plus négliger les médias traditionnels. Les grandes marques comme McDonald’s se servent par exemple des campagnes télévisées pour communiquer sur le nombre de ses nouveaux employés et les possibilités d’évolution qu’il offre à ses salariés. 

Côté discours, soyez transparent et authentique. C’est uniquement ainsi que vos propres employés pourront vous soutenir. Vous pouvez d’ailleurs intégrer leurs témoignages dans vos publicités ! Pour finir, n’oubliez pas de mesurer l’impact de votre stratégie. Les réseaux sociaux vous donnent des statistiques sur les nombres d’interactions et le taux de transformation de vos visiteurs. Vous pouvez également réaliser des enquêtes au sein même de votre entreprise !

Reels pour réaliser des vidéos courtes sur instagram - Agence Sharing

Pour contrer TikTok, Instagram lance Reels

Pour contrer TikTok, Instagram lance Reels 2000 1500 Sharing

Si vous avez lu notre article sur les nouveaux réseaux sociaux pour ados, vous savez déjà que TikTok est un réseau social chinois qui a la cote auprès de nombreux jeunes. Parmi les derniers nés des médias sociaux, il s’est déjà fait un concurrent dans son domaine, et pas n’importe lequel ! En effet, Instagram vient de lancer une nouvelle fonctionnalité qui ressemble beaucoup à TikTok, et avec ses nombreux utilisateurs éparpillés dans les quatre coins du globe, il peut très bien faire de l’ombre à ce réseau chinois. Cette nouveauté d’Instagram s’appelle Reels et on vous dit de suite en quoi est-ce qu’elle pourrait mettre TikTok en danger.

Reels, une fonctionnalité inspirée de TikTok

Connu aussi sous le nom de Cenas, Reels a été lancé récemment au Brésil. Il permet aux instagrameurs de créer des vidéos courtes de 15 secondes qu’ils peuvent ensuite personnaliser et partager dans leurs stories. C’est en effet ce type de contenu qui a fait le succès de TikTok car grâce à ces vidéos : elle était en 2018 l’application la plus téléchargée de l’AppleStore. 

Mais Instagram ne se contente pas de partager des vidéos dans les stories, il a aussi créé un nouvel onglet dans la section « Explorer » afin que les utilisateurs puissent y trouver les « Top Reels ». Les meilleurs Reels ont ainsi le privilège d’être visibles par un public plus large. Par ailleurs, il est également possible de partager les vidéos courtes via les messages privées sur Reels. Il est donc possible de choisir les personnes qui peuvent voir les vidéos et c’est un avantage non négligeable pour Reels par rapport à TikTok.

Comment ça marche ?

Reels est facile d’utilisation. Pour y accéder, il suffit d’ouvrir l’application et de glisser jusqu’à la fonction Reels. Comme sur Tiktok, un large catalogue musical est proposé à l’utilisateur afin qu’il puisse choisir la chanson qu’il va synchroniser avec sa vidéo. Comme options, il est possible de régler sa vitesse ou encore d’afficher un timer. Reels permet aussi d’intégrer plusieurs vidéos sur une seule grâce à une fonctionnalité nommée « ghost ». Une fois l’enregistrement fait, il suffit de partager la vidéo dans la story pour la publier.

Par le passé, Facebook a déjà tenté de concurrencer TikTok en créant une application indépendante nommée Lasso, mais les résultats n’étaient pas au rendez-vous. C’est ainsi que Facebook a décidé de changer de stratégie et de se focaliser sur Instagram.

Instagram, le nouvel axe stratégique de Facebook

Fort de ses 1,1 milliards d’abonnés, Instagram est sans doute la meilleure arme du groupe de Mark Zuckerberg pour faire face aux nouveaux réseaux qui intéressent les jeunes d’aujourd’hui. Il est en effet le 2ème réseau le plus utilisé par les socionautes après Facebook. Si le groupe a lancé sa nouvelle fonctionnalité au Brésil, c’est parce que c’est l’un des pays où il y a le plus d’instagrameurs au monde. On y compte 60 millions d’utilisateurs, le pays arrivant en seconde place, juste après les États-Unis.

Après le lancement de Threads qui reprend les principales fonctionnalités de Snapchat, l’arrivée de Reels vient renforcer la lancée d‘Instagram dans l’élargissement de son réseau vers les plus jeunes. D’ailleurs, il ne serait pas étonnant de voir qu’Instagram déploie Reels à l’échelle mondiale, si ce dernier a du succès auprès des Brésiliens.

Néanmoins, si Instagram voit déjà loin avec sa dernière fonctionnalité, il ne devrait pas s’endormir sur ses lauriers car TikTok le copierait également. Le réseau chinois tenterait de mettre en place une fonctionnalité en grille ainsi qu’un onglet découverte pour reproduire la section Explorer d’Instagram. Dans tous les cas, le choix du meilleur réseau reviendra toujours aux socionautes. Une histoire à suivre !

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Facebook lance Facebook Pay

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En gestation depuis quelques mois, Facebook Pay a été lancé officiellement le 12 novembre dernier aux États-Unis. A l’instar d’Apple et de Google, Facebook a aussi créé son propre système de paiement. Il sera utilisable sur la plateforme et sur toutes les applications du réseau, à savoir Messenger, WhatsApp et Instagram. Si les utilisateurs s’attendaient à voir le déploiement de Libra, le projet de cryptomonnaie de Facebook, le groupe a préféré s’appuyer sur des moyens déjà existants pour créer son système de paiement. Il est en effet simple d’utilisation et on ne devrait pas avoir de difficulté à s’en servir.

Le fonctionnement de Facebook Pay

Selon le communiqué de presse de Facebook, les utilisateurs ont déjà l’habitude de réaliser des paiements via les applications du groupe mais l’arrivée de Facebook Pay va simplifier et sécuriser ces transactions. En effet, le paiement se fait en partenariat avec des sociétés comme Paypal et Stripe. De plus, Facebook Pay est compatible avec la plupart des cartes de crédit et de débit qu’on a déjà l’habitude d’utiliser.

Pour s’en servir, il suffit donc de choisir le mode de paiement qu’on veut utiliser et de lier sa carte bancaire à Facebook Pay. Une fois la synchronisation faite, on n’a plus besoin de ressaisir ses informations si on veut utiliser une autre application appartenant au groupe Facebook. Néanmoins, il est à noter que Facebook Pay n’est pas activé par défaut sur toutes les applications. Ce sont les utilisateurs qui décident sur quelles applications ils veulent l’utiliser. 

Le groupe de Mark Zuckerberg a bien évidemment l’intention de déployer son nouveau système de paiement à une plus grande échelle mais pour l’instant, les zones concernées ainsi que les opérations réalisables via Facebook Pay sont encore limitées.

Quel type d’opérations peut-on effectuer avec Facebook Pay ?

Le système de paiement de Facebook permet de faire des achats en ligne (notamment de jeux et de places pour évènements). Facebook n’a d’ailleurs pas caché son intention d’aider les entreprises à vendre plus facilement via ses applications. Facebook Pay sert aussi à envoyer de l’argent à ses contacts et à faire des dons. Afin d’offrir les meilleurs services, il permet aux utilisateurs de voir l’historique de leurs paiements et de bénéficier d’une assistance client en temps réel grâce à un chat direct. Facebook Pay n’est encore opérationnel qu’aux Etats-Unis et uniquement sur Facebook et Messenger, pour l’instant. Le déploiement sur WhatsApp et Instagram se fera dans les prochaines semaines.

Mais le système de paiement de Facebook n’offre pas exactement les mêmes services que Google Pay et Apple Pay. Il s’agit d’un paiement « in-app » et on ne peut donc pas s’en servir pour faire des achats en magasin ni créer une carte de paiement virtuelle. Néanmoins, pouvoir utiliser un seul mode de paiement sur toutes les applications Facebook reste toujours une idée attractive pour les utilisateurs. Il faudrait juste que le réseau puisse garantir la confidentialité des données collectées et surtout sécuriser les transactions.

Sécurité des paiements : Facebook rassure les utilisateurs

Afin de dissiper tous les doutes concernant la confidentialité des données et d’assurer le bon déroulement des paiements, Facebook a mis en place plusieurs mesures de sécurité. Parmi les plus importants, une surveillance anti-fraude permettra de détecter toutes les activités non autorisées sur le compte du client et de l’en notifier. Par ailleurs, Facebook va aussi stocker et chiffrer les données bancaires des clients. Chaque paiement pourra être confirmé par un code PIN, par reconnaissance faciale ou par empreinte digitale. A ce propos, Facebook affirme ne recevoir ni stocker les informations biométriques des appareils de ses utilisateurs. Pour finir, Facebook a également tenu à souligner que Facebook Pay est totalement indépendant du portefeuille numérique Calibra qui devrait voir le jour en 2020.   

SEO : pourquoi il est vital de s’inscrire sur le long terme

SEO : pourquoi il est vital de s’inscrire sur le long terme 2000 1500 Sharing

Depuis quelques années, le SEO ou référencement naturel est devenu un incontournable pour la plupart des entreprises, notamment celles qui évoluent sur le web. En effet, pratiquement tout le monde passe par internet pour faire un achat, pour s’informer et même pour trouver des solutions à des petits soucis de la vie quotidienne. Pour être visible par les internautes, il est donc capital pour toutes les marques de se trouver dans l’index des moteurs de recherche et c’est à cela que sert le SEO.

Si le moteur de recherche le plus utilisé au monde qu’est Google a mis en place un autre type de référencement plus récemment, le SEO reste la meilleure solution pour les entreprises d’avoir une visibilité durable dans les SERP ( Search Engine Result Page). Afin de mieux comprendre pourquoi il est important d’investir sur le long terme, il est nécessaire de connaître la différence entre le SEO et le SEA.

SEO vs SEA

Pour être indexé par les moteurs de recherche et avoir un bon positionnement dans les pages de résultats, on peut opter, soit pour le SEO (Search Engine Optimization), soit pour le SEA (Search Engine Advertising). Cependant, il y a de grandes différences entre les deux types de référencement. Le SEA permet d’avoir des résultats dans un assez bref délai mais pour ce faire, il faut payer les moteurs de recherche. Le SEO quant à lui peut prendre plus de temps avant de porter ses fruits, mais il est gratuit.

Pour monter dans le classement de Google grâce au référencement naturel, il y a des optimisations techniques à réaliser au niveau du site. Il faut également produire un contenu optimisé ainsi que des backlinks de qualité. Un site qui respecte ces conditions a ainsi toutes les chances d’être bien positionné dans les SERP et de garder cette position pendant longtemps. Le référencement payant ne permet pas de garder un bon positionnement sur une longue période, c’est une solution qui est loin d’être rentable pour une entreprise.

Le référencement naturel est donc un bon investissement pour toute entreprise qui a une vision avancée de son projet. Néanmoins, pour le réaliser, il faut aussi penser au long terme car le SEO n’est pas un travail ponctuel qu’on peut limiter dans le temps.

Le SEO : une stratégie à travailler constamment

Mises à part les optimisations techniques qui peuvent être faites au début du travail de référencement, créer du contenu et acquérir des liens retours sont des tâches à réaliser en permanence afin de ne pas perdre des positions. A la base de la stratégie SEO, les mots-clés sont aussi à suivre et à mettre à jour régulièrement car les SERP changent rapidement en même temps que les termes de recherches utilisés par les internautes.

Pour maîtriser ces paramètres, une intervention ponctuelle ne sera donc pas suffisante. Afin de rester dans la course, l’entreprise doit garder un œil sur sa stratégie et sur l’évolution des SERP. Embaucher un responsable SEO peut ainsi être utile à l’entreprise ou alors, elle peut aussi former ses équipes au référencement naturel. Cette deuxième solution lui permettra d’avoir des ressources humaines à disposition qui auront en outre des points de vue et donc des solutions diversifiées pour ses projets. Il est néanmoins impératif de disposer d’outils pratiques et faciles à manipuler pour ce faire. Pour cela, il existe des solutions Saas comme Seobuddy qui permet aux entreprises de prendre en main facilement leur SEO. 

Mais les avantages d‘un investissement SEO à long terme ne se limite pas à la praticité, il a aussi une répercussion directe sur l’image de l’entreprise et sa notoriété.

Faire grandir la crédibilité de l’entreprise grâce au SEO

Le SEO oblige les éditeurs de sites à assurer leur sécurité, leur structure et leur performance. Il s’agit là de critères techniques capitaux pour avoir un bon positionnement sur les moteurs de recherche. L’expérience utilisateur est en effet très importante pour le référencement. Une fois le site bien placé, le positionnement reste généralement stable sauf en cas de changement de l’algorithme de Google ou au moment où la concurrence devient plus dure comme dans les périodes de soldes ou de fêtes. Le SEO permet ainsi d’améliorer la crédibilité et la notoriété d’une marque via son site et en disposant d’un outil SEO sous la main, elle peut observer l’évolution de la concurrence et anticiper les prochaines stratégies pour les périodes de fort trafic.

Tester les combinaisons de typos grâce à FontPairings

Tester les combinaisons de typos grâce à FontPairings 2000 1500 Sharing

La Typographie est parfois considérée comme un élément secondaire dans la création d’un projet digital ou d’une campagne de communication. Pourtant, elle a un rôle majeur à jouer, car avant d’être un élément décoratif, c’est elle qui véhicule en premier le message à communiquer. Trouver la bonne typographie est d’ailleurs loin d’être une tâche aisée, spécialement pour les designers. En effet, on n’utilise pas les mêmes typos pour un magazine et un e-book, pour une start-up et un restaurant, etc. Même à l’intérieur d’un site web, on n’utilise pas toujours la même typo. Pour faciliter la tâche des designers, il existe aujourd’hui des outils comme Fontpairings qui est d’une aide précieuse pour la recherche de typos.

Fontpairings pour trouver la typo idéale

Les designers se servent généralement des mêmes sources pour choisir les typos qu’ils utilisent. Aussi, pour avoir un projet web unique et bien en accord avec son objectif, il est souvent nécessaire de faire des combinaisons. Fontpairings est l’un des meilleurs outils pour réussir cette mission. Cet outil créé par bypeople.com est en effet simple d’utilisation. Les designers n’ont pas à chercher loin pour trouver les typographies à combiner car le site fait des propositions selon le type de projet qu’on veut créer. Il suffit de choisir au préalable le thème du projet en question et Fontpairings génère de nombreuses combinaisons que vous pouvez tester.

Si vous voulez aller plus loin, les typographies combinées sont encore modifiables manuellement. Vous pouvez avoir un aperçu de votre création sur un desktop, une tablette ou un mobile. C’est un critère à ne pas négliger pour un projet web car les rendus sont parfois différents. Avoir les typos adéquates pour tous les supports permet de gagner beaucoup de temps et de palier aux éventuels problèmes d’affichage lors de la création d’un site ou d’une application web.

L’interface de Fontpairings

Créer est plus facile avec Fontpairings

Si vous êtes un graphiste chevronné, vous préférez peut-être faire vos designs selon vos propres inspirations. C’est même certain que vous avez déjà vos propres règles quant à la combinaison des polices de caractères. Néanmoins, sachez que Fontpairings n’est pas réservé aux débutants et d’ailleurs, il se base sur vos propres choix pour vous faire des propositions. Grâce à ce genre d’outil, vous pourrez découvrir facilement de nouvelles polices que vous pourrez ensuite utiliser pour vos combinaisons. Diversifiez vos créations avec Fontpairings afin de personnaliser vos projets et d’avoir plusieurs choix à proposer à vos clients.

Pour vous simplifier la vie, Fontpairings est totalement gratuit et les polices de votre choix sont téléchargeables depuis le site. Utiliser un tel outil vous permettra de vous consacrer davantage à la création au lieu de perdre du temps en faisant des recherches à divers endroits. Les typographies proposées par Fontpairings vous aident à trouver des polices de caractères cohérentes pour chaque type de projet. Vous n’aurez plus à vous demander quelles polices associer ni à consulter l’histoire de la typographie afin de trouver les typographies qui ont été créées à la même période avant d’entamer votre combinaison.

Découvrez les start-ups françaises qui vous feront consommer éthique

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Depuis quelques années, manger sainement est devenu une priorité pour la plupart des consommateurs. Le marché du bio et du naturel connaît un véritable succès et les industriels sont souvent obligés de se plier aux exigences du public. Parallèlement à l’apparition de cette nouvelle tendance, les applications et les sites qui évaluent les produits se sont également multipliés et aujourd’hui, ils deviennent encore plus pointus. En effet, ces derniers ne se contentent plus de noter la qualité des produits, ils s’intéressent aussi à l’éthique des marques qui les ont fabriqués. Si vous faites partie de ces millions de français qui n’achètent plus de produits sans les avoir scanné avec leurs smartphones, découvrez ici les start-ups qui vous permettront de consommer éthique.

EthicAdvisor, pour des produits qui vous ressemblent

Créé en 2018, EthicAdvisor est à la fois une application et un site. Il propose aux consommateurs d’acheter des produits qui correspondent à leurs valeurs, à ce qui leur tient à cœur. Ethicadvisor met en avant les produits et les entreprises éthiques afin que les consommateurs puissent acheter tout en étant conscients des impacts santé, sociaux et écologiques que leurs achats peuvent avoir. Le site rassemble plus de 400 000 produits. L’application EthicAdvisor n’affiche cependant pas les notes d’entreprises, car selon l’un de ses fondateurs, la RSE de ces dernières se répercute naturellement sur leurs produits. Comme critère de notation, EthicAdvisor a récemment ajouté l’impact CO2 à son système.

ScanUp, « l’appli des consom’acteurs »

Comme son slogan l’indique, ScanUp est une application qui permet aux consommateurs de co-créer des produits de consommation sains et responsables avec les marques. Pour cela, la start-up impose aux marques le respect de son Clean Label, c’est-à-dire des produits sans additifs à risque, sans arôme de synthèse et sans sucre caché. Les consommateurs ont alors le pouvoir de voter selon leurs critères, depuis la provenance des matières premières jusqu’à la nature de l’emballage pour consommer éthique. L’application nous permet aussi de découvrir le profil nutritionnel complet des produits qu’on achète en scannant leurs codes barres.

MoralScore, pour trouver les entreprises éthiques

Le système de notation de MoralScore est plus basé sur l’éthique des entreprises. La start-up note les marques sur l’ensemble de leurs services à la consommation et elle renouvelle le classement tous les 10 jours. MoralScore se base entre autres sur les rapports d’ONG, les revues de presse et les sites comme Infogreffe ou boursier.com pour évaluer les marques. Actuellement, MoralScore compte intégrer certains critères comme le respect de la vie privée et la robotisation dans son système de notation. Son objectif est de permettre aux consommateurs de favoriser les entreprises qui respectent leurs valeurs.

BuyOrNot, pour une consommation responsable

Lancée également en 2018, l’application BuyOrNot est née de l’initiative de l’association I-boycott. Comme MoralScore, elle nous permet aussi de choisir une marque responsable lors de nos achats. Un simple Scan des codes barres d’un produit permet en effet de savoir s’il provient d’une entreprise éthique ou pas. Grâce à BuyOrNot et les applications similaires, les consommateurs ont la possibilité de réagir face au non respect de l’environnement ou aux mauvais traitements des salariés par certaines marques. Par ailleurs, BuyOrNot offre aussi des alternatives aux consommateurs pour qu’ils puissent acheter les produits qu’ils recherchent chez une marque plus responsable.

Si l’usage de ces types d’applications n’est pas salué par toutes les marques et tous les distributeurs pour la simple raison qu’il a un impact non négligeable sur leurs ventes, les consommateurs, eux, ne semblent pas vouloir faire marche arrière. Ainsi, afin que les marques et les consommateurs soient tous les 2 gagnants, il est clair que les start-ups à l’origine des systèmes de notation ont un rôle important à jouer et qu’elles ont l’obligation d’assurer la fiabilité des informations qu’elles donnent. C’est de cette façon que consommer éthique pourra devenir un mode de vie pour tous.

Nouvelles fonctionnalités Trello pour fêter ses 50 millions d’utilisateurs

Nouvelles fonctionnalités Trello pour fêter ses 50 millions d’utilisateurs 2000 1500 Sharing

A l’ère du numérique, toutes les entreprises sont à la recherche d’un outil qui leur permettrait d’être en phase avec l’évolution technologique. Parmi les plus appréciés, Trello répond parfaitement aux attentes des utilisateurs et c’est d’ailleurs pour cela qu’on l’utilise aussi chez Sharing ! Si vous ne connaissez pas encore Trello, il s’agit d’un outil collaboratif dont les entreprises et les particuliers peuvent aisément se servir pour organiser le travail et pour gérer les équipes. Il avait 14 millions d’usagers au moment où Atlassian l’avait racheté pour 425 millions de $ en 2017. Comme preuve de son succès, nous sommes aujourd’hui 50 millions à l’utiliser. Trello compte bien atteindre les 100 millions d’utilisateurs à moyen terme. Pour marquer l’évènement, la plateforme met en place de nouvelles fonctionnalités qui faciliteront encore plus le travail de ses utilisateurs.

Les nouvelles fonctionnalités de gestion

Trello est un outil simple d’utilisation et intuitif mais surtout, il nous évite de nous servir d’une multitude d’outils pour gérer nos tâches. Les nombreuses fonctionnalités de Trello nous permettent en effet d’y centraliser tout notre travail. Parmi les changements principaux, les abonnements Business Class et Enterprise incluront désormais la fameuse intégration d’automatisation Butler for Trello.

La plupart des nouvelles fonctionnalités Trello concernent la gestion, aussi, les administrateurs se verront dotés de plus de liberté. Ils pourront désormais :

  • utiliser Power Up pour décider des applications tierces qui peuvent être intégrées à Trello et pour voir les autorisations définies pour toutes les équipes
  • filtrer les membres en fonction de leur dernière activité
  • surveiller les tableaux publics connectés à l’entreprise
  • désactiver et réactiver les utilisateurs depuis le tableau de bord
  • attribuer le rôle d’administrateur d’entreprise à un autre membre
  • contrôler la visibilité des équipes et la gestion des tableaux.

Mais les nouvelles fonctionnalités annoncées par Trello touchent également les templates, notamment ceux des tableaux et des cartes. Ces dernières permettront aux entreprises d’optimiser leurs méthodes et de là, leurs résultats.

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Trello pour innover votre méthode de travail

Trello vous aide à trouver « l’inspiration ». Il met à la disposition des utilisateurs plusieurs modèles de tableaux afin qu’ils puissent s’en servir pour débuter leurs projets sur de bonnes bases. Toujours dans ce sens, il a également créé une galerie communautaire de templates. Les utilisateurs peuvent alors copier les tableaux créés par d’autres. Les templates des cartes seront aussi améliorés afin de permettre aux usagers de gagner encore plus de temps. Par ailleurs, Trello continuera également de donner des astuces aux utilisateurs via les actions suggérées pour qu’ils soient plus efficaces dans l’organisation et la réalisation de leurs tâches.

Grâce à ces innovations et les autres fonctionnalités qu’on connaît déjà, Trello constitue un véritable atout pour ses utilisateurs car il est à la fois un outil de gestion de projet, un agenda pour les réunions et aussi un planificateur d’objectifs. Il n’est pas réservé aux entreprises, on peut aussi s’en servir pour organiser notre planning personnel ; de nombreuses personnes l’utilisent par exemple pour planifier leurs mariages. Chez Sharing, on s’en sert pour gérer tous nos projets et on n’a vraiment pas à se plaindre ! Bref, si pour vous aussi, l’efficacité est une priorité, Trello pourrait bien être l’outil qu’il vous faut.  

SEA

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Le SEA ou Search Engine Advertising est une technique de référencement qui vise à gagner de la visibilité sur les moteurs de recherche en les payant. Cette technique de e-marketing vient compléter le SEO ou Search Engine Optimization qu’on connaît aussi sous l’appellation « référencement naturel ». 

Si les 2 techniques sont basées sur l’utilisation de mots-clés, leurs fonctionnements sont bien différents. En effet, le SEO consiste à séduire les moteurs de recherche comme Google par le biais de différentes optimisations techniques afin qu’il affiche un site dans ses résultats de recherche. Il est gratuit. Avec le SEA par contre, il faut rémunérer les moteurs de recherche via des enchères de mots-clés que l’annonceur choisit pour se positionner dans ces résultats. Néanmoins, le SEA possède des atouts importants que le SEO ne peut pas offrir aux éditeurs de sites et aux webmarketeurs.

Les avantages du SEA

A l’opposé du SEO qui est un travail de longue haleine, le SEA permet d’apparaître rapidement en première page de Google et dans les meilleures positions. En effet, les annonces ou liens sponsorisés sont généralement placés au-dessus des résultats naturels ; ils sont précédés de la mention « annonce ». Même un nouveau site a toutes ses chances d’y apparaître si la publicité remplit bien les conditions posées par Google. Le référencement payant permet également de s’adresser directement à une audience ciblée : les annonces ne s’affichent que si les requêtes des internautes correspondent bien aux mots-clés choisis par les annonceurs. Par ailleurs, le SEA permet aussi de voir en temps réel l’évolution d’une campagne publicitaire sur Google. Les annonceurs ont donc la possibilité d’ajuster leur stratégie en temps voulu. C’est la meilleure solution pour les webmarketeurs qui ont besoin d’avoir des résultats dans un bref délai.

Mais il ne suffit pas de payer pour apparaître en première page de Google. Même s’il est vrai qu’on peut obtenir de bons résultats rapidement, cela ne se fait pas sans effort. Pour réussir votre SEA, voici les fondamentaux à savoir.

Les principes de base du référencement payant

Le référencement payant se fait sur la plateforme publicitaire de Google qu’on connaît aujourd’hui sous le nom de Google Ads. Il est basé sur un système d’enchère de mots-clés choisis par les annonceurs eux-mêmes. Comme les annonceurs peuvent être nombreux à vouloir se positionner sur un mot-clé donné, Google Ads a mis en place quelques critères pour définir l’ordre d’apparition des annonces.

Pour avoir les meilleures chances d’apparaître au-dessus de ses concurrents, un annonceur doit avoir un bon score de qualité ou Quality Score pour son annonce. Ce score est basé sur la pertinence de l’annonce par rapport aux mots-clés utilisés par les visiteurs, le site web de destination et le taux de clics que l’annonce obtient. L’enchère maximale est également un critère décisif mais il est possible d’apparaître en première position sans avoir à payer trop cher pour un mot-clé. En effet, plus le Quality Score d’une annonce est haut, plus l’enchère diminue. Google Ads donne en général les indications à suivre pour améliorer le score de qualité ainsi que les éventuelles failles de votre publicité. 

Néanmoins, il y a quand même certaines techniques à connaître pour être plus efficace étant donné l’étendu des services offerts par Google Ads. Il peut ainsi être nécessaire de faire appel à un professionnel si vous avez besoin d’avancer plus vite.