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Eva Sahondra

Pantone révèle sa couleur pour 2020 - Agence Sharing

Pantone révèle sa couleur pour l’année 2020

Pantone révèle sa couleur pour l’année 2020 2000 1500 Sharing

2019 se termine bientôt et il est grand temps de découvrir les tendances de la nouvelle année ! La mode touche tous les secteurs d’activités et elle se base entre autres choses sur une notion commune : la couleur. Quelle sera la couleur tendance de 2020 ? Pantone, l’autorité mondiale en matière d’informations sur la couleur, vient de la révéler : ce sera le « Classic blue ». Après le « Living Coral » qui nous a bercés dans un esprit estival en 2019, Pantone nous transporte doucement vers un autre univers, tout aussi agréable avec sa nouvelle couleur de l’année. Le bleu marine profond de Pantone nous invite en effet à partager de nouvelles valeurs : les pensées profondes, l’ouverture d’esprit qui va élargir nos perspectives et notre communication avec les autres. Mais avant d’arriver à ce second sens, le « Classic Blue » nous inspire d’abord le calme et la paix.

Le Classic blue : la couleur de la sérénité

Selon Leatrice Eiseman, Directrice exécutif de Pantone Color Institute, le choix de la couleur de l’année 2020 a été motivé par la recherche d’une fondation fiable et stable sur laquelle on peut bâtir en toute confiance alors qu’une nouvelle ère est en train de commencer. Le bleu qui procure naturellement calme et tranquillité à l’esprit nous aide à recentrer nos pensées. Le « Classic blue » dans sa simplicité nous rappelle la couleur du ciel au crépuscule dans son infinité. Pantone a d’ailleurs très bien illustré cette transition du « living coral » vers le « Classic blue » sur son compte instagram. Face à la rapidité à laquelle la technologie évolue aujourd’hui, la nouvelle couleur de Pantone se veut ainsi rassurante pour tous les créateurs qui vont s’en servir.

La couleur de l’année 2020 pour les marques

Pantone Color Institute fait des prévisions sur les couleurs tendances de l’année depuis plus de 20 ans maintenant. Cette prévision est aujourd’hui indispensable pour les designers qui doivent trouver des idées nouvelles pour leurs projets tous les jours. En 2020, l’identité visuelle des marques et des produits se fera donc autour du Classic Blue (19-405) pour être à la pointe de la tendance. D’ailleurs, certains créateurs n’ont pas attendu longtemps pour s’en servir. Les articles de cette couleur sont déjà mis en avant sur certaines boutiques en ligne comme amazon.com. Les couleurs Pantone se retrouvent ainsi sur différents objets qu’on utilise tous les jours.

Pantone : l’entreprise qui ajoute de la couleur à notre quotidien

Les couleurs Pantone sont aussi utilisées dans l’industrie textile et l’industrie du plastique outre celles de la mode et de l’informatique. Elles sont sujettes à des droits de propriété intellectuelle (copyright) et ne sont donc pas libres d’utilisation. Pantone est la filiale de la firme américaine X-Rite qui se spécialise dans l’art et la science de la couleur. Elle possède un système de licences qui permet à certaines entreprises de reproduire les valeurs Pantone autorisées. Elle dispose également d’une division réservée au grand public : le Pantone Lifestyle. Ce dernier concerne généralement les tissus d’ameublement, le prêt-à-porter, les cosmétiques, les produits touristiques et les fournitures de bureau qui vont ainsi arborer les couleurs iconiques Pantone.

Facebook lance Viewpoints - Agence Sharing

Facebook lance Viewpoints pour rémunérer les participants à des enquêtes

Facebook lance Viewpoints pour rémunérer les participants à des enquêtes 2000 1500 Sharing

Les initiatives des réseaux sociaux pour veiller à notre « bien-être digital » se multiplient. Après la suppression du compteur de likes sur instagram, Facebook lance aussi Viewpoints. Il s’agit d’une nouvelle application qui rémunère les socionautes pour leur participation à des enquêtes, des études, des missions et des tests de nouveaux produits. Voyons comment elle fonctionne pour commencer.

Comment utiliser Viewpoints

Pour utiliser Viewpoints, il faut bien entendu avoir un compte Facebook et être âgé de 18 ans et plus. L’application est disponible sur AndroÏd et iOS. Après avoir créé un compte Viewpoints, l’utilisateur est invité à rejoindre des programmes. Il est notifié sur toutes les informations que le programme lui demandera de fournir avant de commencer ainsi que sur les points qu’il devra collecter pour être payé. Viewpoints aura besoin de connaître le nom, la date de naissance, l’adresse e-mail et le pays d’origine du participant. Selon le type de programme, Viewpoints peut demander d’autres informations. En général, une enquête prend environ 15 minutes et elle permet de collecter 1000 points qui équivalent à 5$. La rémunération est envoyée directement sur le compte paypal du participant. Mais pourquoi Facebook rémunère-t-il ses utilisateurs pour participer à des enquêtes et des sondages ?

Améliorer les produits Facebook

Afin de pouvoir offrir les meilleurs produits à ses utilisateurs, Facebook préfère les consulter directement en recueillant leurs avis via Viewpoints. Les résultats de ces études lui serviront à améliorer notamment Facebook, Instagram, Whatsapp, Portal et Oculus. La rémunération est censée motiver les utilisateurs qui sont devenus sceptiques par rapport à l’usage que Facebook pourrait faire de leurs données personnelles. A ce propos, Facebook rassure les participants en affirmant que leurs données ne seront pas vendues à des tiers. Leur participation à Facebook Viewpoints ne sera publiée ni sur la plateforme de Facebook ni sur les applications liées à elle, sans l’autorisation du participant. Ce dernier pourra d’ailleurs mettre fin à sa participation à tout moment. Mais Facebook Viewpoints n’est pas seulement destiné à optimiser les produits Facebook, il offre également des avantages aux utilisateurs outre la rémunération.

Facebook Viewpoints améliore l’expérience utilisateur

Le premier programme de Facebook Viewpoints est une enquête sur le bien-être numérique des socionautes. Les réseaux sociaux sont en effet pointés du doigt à cause de leurs impacts négatifs sur la santé mentale des utilisateurs. Les résultats de l’enquête devront donc aider Facebook à poursuivre ses efforts dans ce sens et à faire en sorte que les réseaux sociaux redeviennent ce qu’ils étaient au début : un espace d’interactions et d’échanges pour les utilisateurs. A noter que pour l’instant, Facebook Viewpoints n’est encore disponible qu’aux Etats-Unis mais le lancement dans d’autres pays est prévu dès l’année prochaine.

realité augmentée sharing agency

Réalité augmentée et apps, quel avenir pour demain ?

Réalité augmentée et apps, quel avenir pour demain ? 2000 1500 Sharing

Si en 2016, la réalité augmentée s’est faite connaître du public grâce au jeu Pokémon Go, son application ne se limite plus aujourd’hui à l’univers du gaming. En effet, elle peut être appliquée à tous les secteurs d’activités et elle est même l’un des outils les plus innovants de notre époque. N’étant encore qu’à l’aube de son développement, la réalité augmentée nous emmènera encore plus loin pour faciliter davantage notre accès à l’information et notre perception des choses. Afin de pouvoir nous projeter dans l’avenir de la réalité augmentée, commençons par une rétrospective de ce qu’elle nous permet déjà de réaliser aujourd’hui.

Les champs d’application de la réalité augmentée

La fusion de la réalité avec le virtuel a permis à de nombreux domaines de mettre en place des stratégies de communication plus efficaces et à la pointe de la technologie. Pour l’illustrer, voici quelques secteurs d’activités où la réalité augmentée a déjà trouvé son utilité et où elle va encore se développer pour servir les entreprises et le public.

Le e-commerce

Afin de convaincre les clients de faire leurs achats en ligne, certains sites marchands mettent à leur disposition des applications qui utilisent la réalité augmentée. Une personne qui veut acheter une paire de lunettes peut ainsi trouver celles qui lui conviennent en essayant les modèles proposés par le site depuis son téléphone ou son ordinateur. L’application l’Oréal Make Up Genius est aussi une des plus connues. Elle ajoute des éléments 2D ou 3D sur le visage afin que les utilisatrices puissent voir à quoi elles ressembleraient avec un maquillage. 

Le tourisme

Les visites touristiques ne se font plus comme il y a dix ans. Désormais, vous pouvez même visualiser la construction de la Tour Eiffel via son application de réalité augmentée. Si vous explorez une nouvelle ville sans guide, vous ne risquez plus de vous tromper car Google Maps possède aussi son mode RA. Il vous permet de voir la direction à suivre avec les noms des rues dans l’environnement réel et indique avec précision l’endroit que vous recherchez.

Google Maps

L’industrie et la médecine

La réalité augmentée est bien connue dans l’industrie automobile. Grâce à elle, les conducteurs peuvent voir sur leur pare-brise des informations telles que la largeur de la voie, le trafic, la vitesse et les obstacles. Les secteurs de l’industrie et de la médecine utilisent plus la vision directe, c’est-à-dire les lunettes et les casques pour se servir de la réalité augmentée. Ces dispositifs leur permettent plus de mobilité. La maintenance des équipements devient ainsi plus facile grâce à l’accès en temps réel aux informations. Côté médecine, la première opération chirurgicale en réalité augmentée a eu lieu en 2017.

L’apprentissage

Localiser avec précision les éléments de l’anatomie humaine est aujourd’hui facile grâce à des applications comme Human Anatomy Atlas. Grâce à la réalité augmentée, apprenez plus efficacement plusieurs langues étrangères, mesurez facilement les objets, étudiez les constellations, les planètes et les satellites juste en pointant l’objectif de votre smartphone vers le ciel (pourvu que vous ayez l’application RA adéquate embarquée sur votre téléphone).

Human Anatomy Atlas sur l’App Store

La RA est donc déjà présente dans la plupart des domaines qui nous intéressent. Cependant, son évolution est loin d’avoir atteint ses limites et elle est en train de devenir omniprésente dans toutes nos activités.

Comment la réalité augmentée va devenir indispensable dans le futur

Aujourd’hui, presque tout le monde utilise un smartphone, le matériel indispensable pour accéder à la réalité augmentée. Bien qu’il faille généralement avoir les versions les plus récentes de téléphones pour y accéder, la réalité augmentée tend à se démocratiser, d’autant plus que les GAFA sont déjà en train de développer leurs propres applications RA.

Les projets Réalité Augmentée des GAFA

Les grands opérateurs du web ont initié depuis longtemps leurs projets AR. Facebook a, par exemple, déjà connu un grand succès avec son Spark AR, un outil qui permet de créer différents filtres sur Instagram (déjà utilisée par un milliard de personnes). Apple quant à lui a attiré l’attention du monde entier grâce à l’ARKit3. L’application RA pour iOS présente plusieurs fonctionnalités novatrices dont celle de permettre à plusieurs personnes de partager un monde virtuel superposé au réel. Pour Google, les Services Google Play pour RA (ex-ARCore) permettent aussi de créer des applications en RA pour Androïd. Il dispose également d’autres technologies AR comme Google Lens et Swirl, ce dernier étant un outil particulièrement utiles aux annonceurs. Chez Amazon, c’est AR View qui permet de visualiser les articles proposés par le vendeur dans nos intérieurs afin de faciliter nos décisions d’achat.

Il est également à noter que Microsoft, Facebook, Apple et Google planifient de lancer leurs propres casques à destination du grand public à horizon 2022-2023.

L’influence de la RA sur le marketing digital et nos habitudes d’achat

Face à ces nombreuses avancées, le paysage marketing est aussi en train de se redessiner. La réalité augmentée va modifier la façon de faire de la publicité étant donné qu’elle peut s’adapter à pratiquement tout. Selon l’étude de USERADGENTS qui se spécialise dans le mobile et l’innovation, les publicités en RA vont générer jusqu’à 2 196 milliards de revenus d’ici 2022. Par ailleurs, 67% des media planners veulent intégrer cette technologie à leurs campagnes de marketing digital. Selon toujours cette étude, la RA pourrait résoudre le problème d’Adblocking.

Par ailleurs, les GAFA avec Microsoft, Huawei, Magic Leap et Qualcom ont aussi déjà créé leurs Cloud AR. Pour illustrer l’utilité de ce type de Cloud, Useradgents a pris l’exemple d’un marqueur placé à Paris qu’on pourrait scanner avec son téléphone afin de commander un VTC. Il pourrait également remplacer les écrans et le mobile vu que les gens préfèreront bientôt les nouveaux supports équipés de réalité augmentée comme les objets connectés, les lunettes, les casques et les lentilles.

Bref, la technologie évolue très vite et les marques sont constamment soumises à de nouveaux challenges, pendant que les géants d’Internet cherchent toujours de nouvelles pistes pour un marché à haute valeur ajoutée…

Pourquoi créer une FAQ sur son site - Agence Sharing

4 bonnes raisons de créer une FAQ sur son site web

4 bonnes raisons de créer une FAQ sur son site web 2000 1500 Sharing

En créant un site web qui comporte déjà des pages A propos, GGU, CGV et d’autres qui détaillent nos services, on a tendance à penser que tout devrait être clair pour nos visiteurs. Pourquoi donc créer une Foire Aux Questions ? A priori, elle ne nous semble pas indispensable et pourtant, elle offre de multiples opportunités pour booster notre site, voire même notre activité. Si vous ne vous êtes pas encore posé cette question, les quelques raisons suivantes devraient vous aider à comprendre pourquoi il est judicieux de créer une FAQ pour votre site.

La FAQ est utile à votre SEO

La première raison pour laquelle vous avez besoin d’une FAQ est votre référencement naturel. Comme on le dit souvent en SEO, le contenu est roi. La FAQ vous offre une belle opportunité d’étoffer votre contenu et de l’optimiser avec des mots-clés pertinents. La plupart des internautes formulent leurs recherches par des questions et les réponses à celles-ci sont le plus souvent placées en position zéro par Google dans les SERP.

Si vous n’apparaissez pas en position zéro, votre FAQ pourrait encore apparaître dans les réponses aux « Autres questions posées » (People also ask) si elle est pertinente pour la demande de l’internaute. C’est également une des meilleures manières d’attirer du trafic sur votre site.

Par ailleurs, si votre FAQ est bien structurée et présente un bon maillage interne, les lecteurs navigueront de page en page et les moteurs de recherches vous mettront en avant dans le domaine de votre expertise. D’ailleurs, c’est ce qui nous amène à la deuxième raison pour laquelle vous devriez mettre en place une FAQ sur votre site.

Améliorez votre image grâce à la FAQ

En donnant les réponses aux questions que les internautes posent autour de votre activité, vous vous placez en tant qu’expert dans votre domaine, ce qui incite vos lecteurs à vous accorder leur confiance. Ils sont par conséquent plus disposés à visiter votre site, à lire vos articles et même à utiliser vos services. Tout ceci contribue aussi à améliorer votre notoriété et votre e-réputation.

Mais la mise en place d’une FAQ a également une grande utilité pour vos visiteurs et c’est bien la première raison d’être d’une foire aux questions.

Par la FAQ, transformez vos prospects et fidélisez vos clients

Si les internautes font des recherches sur internet, c’est qu’ils veulent trouver des réponses à leurs questions ou des solutions à leurs problèmes. En devançant leurs besoins, vous leur rendez service et ils auront tendance à chercher les réponses à toutes leurs questions relatives à votre secteur sur votre site. Ce qui peut transformer vos prospects en clients et également fidéliser ces derniers. Par ailleurs, en créant une FAQ, vous découvrirez les vrais problèmes de vos clients et vous pourrez y apporter les solutions adéquates.

Optimisez votre site pour la recherche vocale

Les questions/réponses sont favorables à la recherche vocale et ce type de recherche tend à s’amplifier actuellement. 20% des recherches faites depuis les mobiles seraient vocales selon Google. Par ailleurs, les assistants vocaux choisissent de lire la meilleure réponse à la question posée, aussi, il est important d’avoir sur son site des contenus adaptés à cette nouvelle technologie.

Afin que vous puissiez bénéficier de tous ces avantages, on vous donne aussi quelques techniques fondamentales pour réussir votre page Foire aux questions.

Les bonnes pratiques pour une FAQ efficace

La clé d’une FAQ efficace, c’est de savoir poser les bonnes questions. Pour les trouver, vous pouvez emprunter plusieurs pistes : les mails que vous avez reçus de vos propres clients, les questions posées par les internautes qui apparaissent sur les pages de résultats, les outils de recherche de mots-clés orientés vers les questions comme le Keyword Magic Tool de Semrush ou Answer the public, l’organisation d’un sondage auprès des lecteurs, etc.

Quand vous aurez trouvé les questions pertinentes, structurez-les correctement. Rassemblez-les par thématiques et créez une page entière pour les sujets complexes qui méritent d’être développés davantage. Vos contenus doivent être hiérarchisés et maillés entre eux pour créer un cocon sémantique.

Pour vos réponses, privilégiez le côté pratique et optez pour une approche didactique. Vous pouvez aussi intégrer des visuels pour être plus explicite. Servez-vous des mêmes mots-clés que les internautes pour qu’ils tombent facilement sur votre FAQ en faisant leurs recherches. Enfin, n’oubliez pas de respecter les règles fondamentales du SEO sur la structure de votre contenu comme la hiérarchisation des Hn et la mise en place de métadonnées. 

fin des likes sur instagram- Agence Sharing

La fin des likes sur les réseaux sociaux ?

La fin des likes sur les réseaux sociaux ? 2000 1500 Sharing

On ne verra bientôt plus de likes, du moins sur les comptes qui ne sont pas les nôtres. C’est Instagram qui a initié le changement, mais la fin des likes est aussi en marche pour les autres réseaux sociaux. La nouvelle peut surprendre les utilisateurs dont la plupart ignore encore tout sur cette mise à jour. En effet, le test est déjà en cours sur Instagram dans quelques pays comme le Canada, l’Australie, le Brésil, l’Irlande, la Nouvelle Zélande, le Japon, l’Italie et récemment les Etats-Unis. Désormais, on ne pourra plus voir que les likes que nos propres publications ont obtenu et ce, à partir d’une fenêtre dédiée. Ce changement viserait entre autres à améliorer l’expérience utilisateur sur les réseaux sociaux. Si vous vous demandez quel rapport il y a entre cet objectif et la suppression des compteurs de likes, on vous donne ici quelques explications.

Pourquoi cacher la réaction favorite des socionautes ?

Pour commencer, détrompez-vous : les likes ne vont pas totalement disparaître, vous pourrez toujours liker les posts qui vous plaisent et vos followers pourront toujours liker vos posts. C’est le compteur de likes qui va être supprimé et du coup, les socionautes ne pourront plus voir combien de likes leurs amis ont recueillis. Si les réseaux sociaux ont pris une telle initiative, c’est parce qu’ils veulent rappeler aux socionautes la vrai vocation de ces plateformes : celle de favoriser les échanges entre les utilisateurs. 

Selon le porte-parole d’Instagram, la plateforme souhaite que les instagrameurs se concentrent davantage sur les photos et les vidéos partagées au lieu de se livrer à une compétition. Instagram serait en effet le réseau qui a le plus d’effet négatif sur notre santé mentale d’après le sondage de la Royal Society for Public Health de 2017. La suppression des compteurs de likes a donc pour objectif de protéger les utilisateurs du stress et de l’addiction. Du côté de Facebook, après la fin du like gating, l’amélioration de la plateforme se poursuit par la mise en place de paramètres qui vont nous permettre de contrôler les notifications qu’on reçoit.

Mais si le changement sur les réseaux sociaux profite bien aux socionautes, qu’en est-il des community managers et des autres travailleurs des médias sociaux ?

Les impacts de la fin des likes sur la stratégie social media

Le social media marketing sera forcément modifié suite à la mise à jour des réseaux sociaux. En effet, les « j’aime » ont toujours été l’un des indicateurs les plus utilisés par les community managers et ils ne pourront désormais plus l’utiliser dans le but de comparer les performances de leurs posts à ceux des concurrents. Sur Instagram, l’engagement sur les stories ainsi que l’évolution du nombre d’abonnés sur la durée viendront ainsi s’ajouter aux indicateurs d’attention à suivre pour mesurer la performance des posts.

Par ailleurs, il sera aussi plus facile de promouvoir les petits comptes qui ne seront pas handicapés par un nombre faible de j’aime. Les gens ne seront plus influencés par la taille de l’audience des posts. La suppression du compteur de likes permet également d’éliminer les faux comptes qui servent uniquement à collecter les followers et les « j’aime » sur Instagram. Bref, la concurrence sera désormais plus loyale sur la plateforme.

Mais les community managers ne seront pas les seuls à devoir s’adapter aux nouveautés des réseaux sociaux. Les influenceurs sont aussi concernés par la fin des likes étant donné que le nombre d’abonnés est l’un des premiers critères qui poussent les marques à les engager et c’est également à partir du nombre de « j’aime » sur leurs posts que ces dernières mesurent leurs performances. Les influenceurs ainsi que tous les créateurs de contenus vont donc devoir produire des posts à haute valeur ajoutée afin d’inciter leurs lecteurs à les commenter et à les partager.

Pour résumer, les socionautes seront donc amenés à ne liker que les posts qu’ils aiment vraiment et ces posts seront capables de les inciter à interagir avec les marques qui ont envoyé le message. Les plateformes sociales retrouveront ainsi leur première vocation et parallèlement, elles retrouveront aussi une meilleure image auprès de leurs utilisateurs qui continueront à utiliser leurs réseaux.

Définition et usage du chatbot - Agence Sharing

C’est quoi un chatbot ?

C’est quoi un chatbot ? 2000 1500 Sharing

En cherchant de l’aide sur internet, vous avez peut-être déjà eu à faire à Google Assistant ou à Siri : il s’agit des chatbots vocaux appartenant respectivement à Google et à Apple. Avec Microsoft et Amazon, les 2 géants d’internet sont parmi les précurseurs de cette technologie qui est aujourd’hui devenue indispensable à tous ceux qui utilisent le web. Mais quel est donc cet outil si innovant et à quoi sert-il ?

Définition du chatbot

Le Chatbot, appelé aussi « agent conversationnel » est un outil qui sert à automatiser les conversations avec les internautes. Ce robot peut-être implémenté dans un site web ou dans une application de messagerie. De nombreuses entreprises et marques possèdent aujourd’hui leurs propres chatbots afin d’être plus réactifs vis-à-vis des consommateurs. C’est en effet le principal atout de l’outil car il répond instantanément et de façon personnalisée aux questions des internautes. A condition d’être bien paramétré, le chatbot offre de nombreux avantages aux utilisateurs :

–     Il permet aux marques d’assister leurs clients à tout moment, 24h/24 et 7j/7

–     Il allège le travail du service client

–     Il améliore l’expérience utilisateur

–     Il permet à l’entreprise d’économiser du temps et de l’argent grâce à l’automatisation de certaines tâches

–     Il fidélise les clients

–     Il permet d’avoir une relation de proximité avec les prospects et les clients

–     Il permet d’identifier les points à améliorer sur les services et les produits proposés

Si le dialogue avec l’internaute via le chatbot ne nécessite pas d’intervention humaine, il faut néanmoins surveiller le fonctionnement de celui-ci afin qu’il puisse toujours donner des réponses pertinentes aux consommateurs. Selon les objectifs et les ressources de chaque entreprise, le choix du chatbot à utiliser peut varier.

Les différents types de chatbots

On peut classer les chatbots dans 2 catégories. La première regroupe ceux qui puisent leurs réponses à partir d’une base de données préexistante et les affichent selon les mots-clés tapés par l’internaute. La seconde est plus intelligente car elle est capable d’apprendre et de faire une analyse sémantique pour comprendre les intentions de l’internaute et d’apporter la réponse la plus adéquate. Cette catégorie de chatbot est l’exemple parfait de la machine learning et c’est celle qui est plus adaptée à l’ère actuelle.

Pour connecter votre site ou vos applications de messagerie à un chatbot, il existe aujourd’hui des logiciels de création Saas. Celui de DYDU, l’entreprise française spécialisée en bot (et dont Sharing a conçu la nouvelle identité graphique) vous permet par exemple de créer votre propre chatbot de A à Z, de manière totalement autonome et sans coder. Vous pourrez l’utiliser aussi bien pour votre service client que pour vos collaborateurs car son déploiement peut aussi se faire sur Intranet.

Par ailleurs, Dydu dispose aussi d’autres types de robots conversationnels comme le voicebot et le callbot. A la différence du chatbot qui dialogue par écrit, le voicebot répond aux questions par la voix à travers un support connecté tandis que le callbot est accessible par téléphone. L’entreprise accompagne ses clients dans la construction de l’identité du bot qui leur convient et dans la mise en place de la stratégie de dialogue adéquate. Pour aller plus loin, Dydu crée aussi l’interface conversationnelle des robots humanoïdes et des domobots.

Définition de la SERP dans le guide de l'agence Sharing

SERP

SERP 2000 1500 Sharing

SERP est l’acronyme de Search Engine Results Page ou page de résultats des moteurs de recherche en français. Il se réfère à la page web qui s’affiche suite à une requête que l’internaute fait sur ces moteurs. La SERP contient plusieurs liens dont l’ordre d’apparition est déterminé par l’algorithme des moteurs des recherches. C’est cet algorithme qui définit la position d’une page web dans les SERP selon sa pertinence par rapport aux mots-clés utilisés par l’internaute. C’est là que les SERP intéressent le référencement naturel.

La SERP, un concept lié au SEO

 La SERP, notamment celle de Google, fait l’objet de nombreuses études par les grands noms du référencement qui tentent d’expliquer son fonctionnement. Apparaître en page 1 des résultats de recherches, donc sur la SERP1, est en effet l’objectif de tout référenceur et on convoite encore plus les 3 premières positions de cette page. Plusieurs études ont en effet démontré que l’attention des internautes est naturellement portée sur ces positions et par conséquent, les sites qui s’y trouvent reçoivent plus de clics que les autres. Une SERP propose en général une dizaine de liens naturels mais parfois, ce nombre peut-être réduit pour laisser place à d’autres types de résultats.

Les différents types de résultats de recherche

L’algorithme des moteurs de recherche s’affine tous les jours pour donner aux internautes les réponses les plus pertinentes possibles à leurs requêtes. Ainsi, ces moteurs sont aujourd’hui capables d’afficher plusieurs sortes d’informations dans leurs SERP. Sur Google, WebRankInfo compte 83 SERP Features ou fonctionnalités, mais on peut les classifier dans quelques groupes.

 Outre les liens organiques ou naturels qui apparaissent eux-mêmes sous plusieurs formes (sitelinks, AMP, rich snippet, etc.), Google affiche également dans ses SERP des liens sponsorisés, c’est-à-dire des annonces payantes. Ils sont généralement placés en haut des résultats naturels avec une étiquette « annonce » ou récemment avec un picto « Ad » devant le lien. Il y a aussi les résultats de recherche universelle comme les images, les vidéos et les actualités.

Par ailleurs, Google est aussi capable de générer des résultats locaux selon la requête de l’internaute. On notera également le Knowledge Graph qui apparaît sous forme de bloc sur la barre latérale des desktops. Il regroupe toutes les informations que Google connaît sur un sujet recherché par l’internaute. Enfin, les SERP de Google proposent aussi des résultats « Onebox » dont la forme la plus connue est la liste de questions à déplier intitulée «  People Also Ask ». Il apparaît quand la requête de l’internaute est une question.

Pourquoi Facebook doit réviser Libra - Agence Sharing

Libra : pourquoi Facebook doit réviser son projet de cryptomonnaie

Libra : pourquoi Facebook doit réviser son projet de cryptomonnaie 2000 1500 Sharing

Annoncé le 18 juin dernier, la création de Libra, la monnaie digitale de Facebook n’a plus cessé de faire parler d’elle depuis. Si Mark Zuckerberg est parti sur l’idée d’offrir une première alternative aux banques commerciales et centrales pour les personnes qui n’y ont pas encore accès, les questionnements sur la faisabilité du projet sont nombreux. Aussi, avant de parler des enjeux financiers que représente Libra, il convient de rappeler l’essence première de cette cryptomonnaie et son utilité pour le public.

Usage de la Libra : quels intérêts pour Facebook et ses abonnés ?

La monnaie virtuelle de Facebook permettra aux utilisateurs de faire des paiements en ligne de la manière la plus simple : ils ne seront pas obligés de passer par une institution financière ni de chercher les devises adéquates. Libra sera intégrée directement aux applications WhatsApp et Messenger afin de faciliter davantage le transfert d’argent. Les e-commerçants pourront aussi s’en servir comme une monnaie d’échange. L’usage de la Libra est ainsi avantageux pour les utilisateurs dans le sens où les transactions sont plus simples, instantanées et peu coûteuses. Pour s’en servir, il suffit d’installer un portefeuille virtuel sur son téléphone ou son ordinateur. Celui de Facebook, nommé CaLibra, sera également intégré à WhatsApp et Messenger et c’est cette entité qui lui permettra de rentabiliser ses investissements dans ce projet de cryptomonnaie.

Calibra est en effet la filiale de Facebook qui va gérer toutes les activités du réseau relatives à la Libra. C’est aussi elle qui rendra possible l’achat de services en Libra chez les partenaires de Facebook. Mais Calibra permettra surtout à la plateforme de fonctionner en quelque sorte comme une banque, c’est-à-dire de proposer à ses abonnés des produits financiers. C’est donc un moyen pour elle de ne plus dépendre des données personnelles de ses utilisateurs. Néanmoins, la création d’une monnaie qui échappe aux normes traditionnelles du système financier laisse place à des doutes, notamment chez les institutions concernées comme les banques. Elle pourrait même avoir des répercussions sur la stabilité financière d’un pays, voyons pourquoi.

Les éventuels impacts de Libra sur le système monétaire

Avec ses 2.3 milliards d’utilisateurs répartis aux quatre coins de la planète, Facebook risque de bouleverser les échanges monétaires entre les Etats avec sa cryptomonnaie. La Libra de Facebook n’est effectivement pas qu’un moyen de paiement, elle est une monnaie alors que depuis toujours, l’émission d’une monnaie relevait uniquement de la compétence de l’Etat. Si les transactions en Libra venaient ainsi à s’intensifier, la politique monétaire des banques centrales deviendrait obsolète. Le co-fondateur de BlockChain Partners Alexandre Stachtchenko fait même référence à la situation du Venezuela où le Bitcoin est déjà en train de supplanter la monnaie nationale à cause de l’inflation monétaire.
 

Par ailleurs, la monnaie numérique de Facebook pourrait également mettre les Etats en concurrence vu qu’elle est « indexée sur un panier de monnaies traditionnelles ». La Libra sera en effet adossée à un panier de devises stables comme l’Euro et le Dollar. Elle ne sera donc pas affectée par les fluctuations. Pour les banques, Libra peut aussi se révéler être un concurrent sérieux car outre les utilisateurs actuels de la plateforme et des applications Facebook, elle cible les 1,7 milliards de personnes qui ne peuvent pas accéder aux services des banques traditionnelles à cause des nombreuses conditions imposées par ces institutions.

Face à ces risques et d’autres interrogations sur la transparence et la sécurité des transactions, Facebook est contraint de reconsidérer le fonctionnement fondamental de sa cryptomonnaie et probablement de repousser la date de lancement de sa monnaie.

Le lancement de Libra pourrait être reporté

Mark Zuckerberg et ses partenaires ont prévu de lancer Libra au mois de Juin 2020. Cependant, force est de constater qu’il y a encore de nombreux points à revoir, notamment sur la régulation du projet. Certains pays de l’Union Européenne ont en effet refusé le développement de Libra sur le sol européen en son état actuel, particulièrement à cause de ce manque de régulation. D’ailleurs, la G7 a déjà créé un groupe de surveillance chargée d’évaluer les risques liés au déploiement de cette nouvelle monnaie. 

Mais Facebook doit également répondre à des questions juridiques telles que les droits bancaires et financiers ainsi qu’à la problématique de la confidentialité des transactions. En effet, Facebook ne peut pas anonymiser ces dernières comme il le fait avec les messages sur WhatsApp. Une telle initiative favoriserait le blanchiment d’argent et d’autres trafics illicites. Il doit donc trouver un moyen de concilier la transparence des transactions et la confidentialité des données. 

Facebook veut réguler sa cryptomonnaie

Pour dissiper les doutes concernant l’étendue du pouvoir que pourrait avoir Libra sur le système monétaire mondial, Facebook a stipulé dans son livre blanc que cette monnaie numérique sera gérée par un consortium d’entreprises indépendant où Facebook, via CaLibra, sera juste un membre comme les autres. Il n’aura donc pas les pleins pouvoirs sur cette monnaie. A noter que Facebook compte sur le partenariat d’une vingtaine de groupes financiers et d’entreprises dont Uber, eBay, Iliad et Spotify pour le lancement de sa cryptomonnaie. D’après David Marcus, le directeur du projet, Facebook est en train de reconsidérer la valeur de la Libra qui pourrait être adossée à des devises locales. Une initiative qui devrait résoudre en grande partie le problème de la régulation.

Concernant la sécurité des données personnelles, CaLibra affirme dans ses CGU ne pas partager les données des comptes de ses utilisateurs avec Facebook ni avec d’autres tiers sans leur accord. Néanmoins, Facebook a encore du chemin à faire pour convaincre les régulateurs et les dirigeants d’autoriser le lancement de sa monnaie numérique.

SeedUniversity - l'université qui forme les influenceurs - Agence Sharing

SeedUniversity, l’université de l’influence

SeedUniversity, l’université de l’influence 2000 1500 Sharing

Bien que le marketing d’influence soit un concept assez récent, il est déjà bien populaire parmi les utilisateurs des réseaux sociaux. Néanmoins, ce ne sont pas tous les socionautes qui ont compris les principes de ce genre de marketing. Par conséquent, c’est la désinformation qui se répand sur toute la toile avec parfois, une viralité incontrôlable. Afin d’éviter ce genre de situation, la start up américaine dirigée par Ara Katz et Raja Dhir a eu la bonne idée de former les leaders d’opinions. Pour ce faire, elle a créé une université assez particulière : la SeedUniversity.  

Influenceur : un métier qui s’apprend

Si certaines personnes semblent avoir plus d’influence que d’autres sur les réseaux sociaux, ce n’est pas vraiment parce qu’ils ont un don. Être populaire n’est pas non plus suffisant pour être un bon influenceur, c’est un métier qui s’apprend. Les créateurs de la SeedUniversity ont pris conscience de l’impact que les fausses informations peuvent avoir sur tous les aspects de notre vie et du rôle que les plateformes sociales telles qu’Instagram tiennent à ce sujet. Les influenceurs qui les utilisent ont le pouvoir de susciter l’engagement du public mieux que n’importe quel autre canal de communication. Aussi, il est important de leur donner les connaissances nécessaires afin qu’ils puissent véhiculer les bons messages et de la meilleure manière à leur communauté.

C’est dans cet esprit que la SeedUniversity dispense des formations qui visent à « responsabiliser le marketing d’influence » concernant notamment les informations relatives à la santé. Il est à noter que la SeedUniversity est née suite aux incidents causés par la promotion d’un médicament anti nausée que la star Kim Kardashian a mené sur les réseaux sociaux. Si telle est l’origine et les principes de cette université atypique, comment fonctionne-t-elle pour former les influenceurs ?

Devenir un influenceur « professionnel » avec SeedUniversity

Ara Katz et Raja Dhir ont réuni une équipe de scientifiques, de médecins, d’experts en communication et différents types d’intervenants pour apprendre aux influenceurs les bases scientifiques des produits qu’ils peuvent promouvoir. Pour ce faire, ils ont pu compter sur le soutien de bailleurs de fonds institutionnels comme Cross Culture Ventures et d’autres figures bien connues comme Cameron Diaz et Jessica Biel. SeedUniversity offre un programme intensif de 60 minutes à l’issue duquel les influenceurs sont soumis à un examen afin de valider leurs compétences. Les cours sont dispensés via la plateforme d’Instagram même et ils sont appuyés par l’existence d’un site dédié et d’un manifesto qui détaille les offres de l’université.

L’initiative de la start up américaine est salutaire aussi bien pour la sécurité des consommateurs que pour celle des laboratoires pharmaceutiques, mais serait-il possible d’avancer vers une « normalisation » du métier d’influenceur dans le futur ?

l'utilité de linkedin pulse pour les marques - Agence Sharing

Faut-il utiliser LinkedIn Pulse ?

Faut-il utiliser LinkedIn Pulse ? 2000 1500 Sharing

Afin de donner plus d’opportunités à ses utilisateurs, le plus grand réseau professionnel au monde s’est enrichi d’une plateforme de blogging : LinkedIn Pulse. Réunissant plus de 500 millions d’abonnés, LinkedIn est le réseau indiqué pour tisser des relations professionnelles. LinkedIn Pulse vient renforcer cette potentialité en offrant encore plus de visibilité aux utilisateurs. Mais avant de parler de ses avantages, voyons d’abord ce qu’est cette plateforme et comment on peut y accéder.

LinkedIn Pulse, une plateforme de contenu optimisé

LinkedIn Pulse sert à créer des articles qui apparaîtront ensuite sur la plateforme sociale de LinkedIn. Si elle est aujourd’hui ouverte à tous les utilisateurs du réseau, LinkedIn Pulse était auparavant réservée aux influenceurs dont les articles sont connus pour avoir une haute valeur ajoutée. Les articles publiés par les marques doivent ainsi maintenir le même niveau afin de pouvoir se positionner en tant qu’expert dans leur domaine respectif. Les textes peuvent être agrémentés d’images et de vidéos. Afin d’assurer une meilleure visibilité, il est également recommandé de penser au référencement naturel pour les rédactions, c’est-à-dire à bien choisir les mots-clés, à structurer les titres et à intégrer des liens.

Pour accéder à LinkedIn Pulse, il suffit de cliquer sur le lien « Écrire un article sur LinkedIn » en haut à gauche du profil. Il est toutefois à souligner qu’il est également possible de publier un article qui apparaîtra sur le fil d’actualités mais la longueur des textes y est limitée à 1300 caractères contre 125 000 pour LinkedIn Pulse. Par ailleurs, comme la plupart des marques qui font de l’inbound marketing disposent déjà d’un blog, on pourrait se demander s’il est vraiment nécessaire de faire aussi des publications sur une plateforme telle que LinkedIn Pulse. Pour répondre à cette question, on vous explique ce que vous pouvez gagner en publiant sur cette plateforme.

Ce que LinkedIn Pulse peut vous apporter

Comme mentionné précédemment, LinkedIn Pulse vise à accroître la visibilité des marques. La plateforme favorise en effet la portée des articles car ces derniers apparaissent automatiquement sur le fil d’actualités de l’auteur. Ils peuvent donc toucher un public plus large. Leur portée ne se limite pas aux seuls contacts de l’émetteur et surtout, ces articles sont indexés par Google. Les lecteurs ont en outre la possibilité de commenter, de partager et de créer la conversation autour de ces articles. Le taux d’engagement s’en trouve ainsi amélioré et les contenus acquièrent de la viralité auprès de nouveaux contacts. Chaque auteur a ainsi la possibilité de devenir un leader d’opinion selon les interactions que ses publications obtiennent.

Mais le plus grand avantage de LinkedIn Pulse est la qualité de son audience. Elle est en effet plus ciblée car l’algorithme de la plateforme permet de diffuser des articles auprès de personnes qui partagent les mêmes centres d’intérêts que l’auteur. Et comme il s’agit d’un réseau professionnel, l’audience est plus qualitative, plus active et surtout, elle est tournée vers le business.

Par ailleurs, LinkedIn est également connu pour être le meilleur réseau social en termes de conversion visiteur-prospect (2,74%). Ainsi, en publiant des articles pertinents de façon régulière, les marques ont la possibilité de toucher plus de la moitié de leurs audiences. Se servir de LinkedIn Pulse s’avère alors être un très bon outil de génération de lead. Toutefois, pour que vos publications puissent porter leurs fruits, il ne faut pas oublier que les articles doivent être bien en accord avec le domaine d’expertise de la marque et apporter une réelle valeur ajoutée au public cible.